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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 15:17

 

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Le billet de JPROCK :

 

"Thick as a brick", album mythique de Jethro Tull et "Thick as a brick 2" interprétés en live et en intégralité, voilà le programme alléchant du concert de ce soir.

D'ailleurs le public a répondu présent car cette date belge affiche sold out.

 

Il est 20h15 lorsque les musiciens montents sur scène vêtus de gabardines brunes et de bérêts. Lampes torches ,balais ou plumeau à la main  ils entreprennent de nettoyer la scène. Ce petit ballet scénographié plein d'humour sert d'introduction au show concocté de main de maître par le maestro Ian Anderson.

 

Un petit film en ouverture et Ian Anderson, soixante six balais au compteur, apparait guitare à la main dans un faisceau de lumière. Et c'est partit pour "Thick as a Brick" part one & two !

L'album sorti en 1972 fut un des premiers concept-albums prog à se classer dans le Billboard 200, le hit parade américain. TAAB conte l'histoire de Gerald Bostok un garçon de 10 ans qui a gagné un  concours de poésie grâce à ses parents qui ont menti sur son âge. L'album décrit ce long poème de Gerald Bostok mis en musique par Ian Anderson.

Pour fêter le 40e anniversaire de cette pièce majeure de l'histoire du folk rock progressif Ian Anderson décide de lui écrire une suite intitulée tout simplement "Thick as a brick 2".

Qu'est devenu gerald Bostok aujourd'hui ? Un banquier?  un militaire? Un sans logis? Un télévangéliste ? Une personne normale ? Anderson explore plusieurs pistes.

L'approche sonore de cet opus 2 se rapproche volontairement de l'album de 72 avec ces riffs de guitare et ces interventions à la flûte toujours aussi étonnantes de Ian" je joue sur une jambe" Anderson.

 

Sur scène le band est à la hauteur du projet et malgré l'absence de Martin Barre parti sous d'autres cieux pour une carrière solo, les musiciens actuels sont plus qu' à la hauteur.

Aux claviers on trouve John O' Hara dans le groupe depuis 2003 , à la basse l'excellent David Goodier, aux drums Scott Hammond et à la guitare le formidable guitariste allemand Florian Opahle qui parvient presque à nous faire oublier Martin Barre tant son talent est indéniable.

Au chant Ian Anderson est épaulé par son alter ego Ryan O' Donnell. Ce natif du Yorkshire officie sur scène comme acteur, maître de cérémonie et chanteur. Sa voix rappelle fortement celle de Ian Anderson jeune et entendre les deux hommes se répondre vocalement est un réel plaisir.

 

Le show tres théatral se compose de deux parties et à mon applaudimètre la partie 1 l'emporte sur la deuxième, car bien sur l'album de référence on l'a tous dans l'oreille tandis que sa suite nous est moins familière. Mais dans l'ensemble on assiste à un  concert de haut vol bien supérieur à ce que le Tull nous avait montré il y a quelques années à Forest National. Ici le son est impeccable et Ian Anderson tient une forme olympique.

 

En rappel ce sont les riffs de "Locomotive Breath" qui viennent mettre un point final à cette bien belle soirée qui confirme ces deux bons vieux adages que sont  "c'est dans les vieilles casseroles qu'ont fait les meilleurs plats" et  " les absents ont toujours tort".

 

Setlist :

 

Part 1 Thick as a brick part 1 & 2

Part 2 Thick as a brick 2

Encore : Locomotive Breath

 

JPROCK

 

Photos du concert par JPROCK ici : --------) link

 

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17 novembre 2012 6 17 /11 /novembre /2012 13:17

 

 

 

 

Le billet de JPROCK :

 

Il est 20h et au bar et dans le hall du Centre Culturel de Woluwe St Pierre un public fidèle a fait le déplacement pour applaudir Berry.

Malgré deux excellents albums,  "Mademoiselle" sorti en 2008 et le récent " Les Passagers", Berry reste encore une artiste underground pour une partie du grand public.

Pourtant son univers mérite grandement un auditoire plus large ce qui sans nul doute ne saurait tarder.

Auteur-interprète la jeune femme possède une jolie voix et une personnalité mystérieuse et attachante. Berry est une chanteuse sensorielle au carrefour des influences parmi lesquelles on trouve la culture rock, Gainsbourg, Françoise Hardy , les films des frères Coen, et les grands espaces.

 

Sur le coup de 20h30 les lumières s'éteignent et Berry monte sur scène. Dans la pénombre elle s'installe sur un tabouret en bord de scène et démarre son set en douceur avec "Les heures bleues" suivi de "Si Souvent".

Vêtue de noir,  tresse sur l'épaule et chaussées de talons hauts tres classieux, Berry nous enchante et nous charme par sa beauté et son élégance d'interprète tout en retenue.

Elle nous rappelle que c'est à Bruxelles que tout a commencé avec "Mademoiselle" et lache ensuite les guitares rock sur "Brune".

Car si Berry se fait douce sur certains titres, elle peut aussi se transformer en une redoutable performer on stage emmenée par les guitares incisives de son comparse Lionel.

Retour à la poésie avec "Les Mouchoirs blancs", puis elle enchaîne avec "Si c'est la vie" et le superbe "Forever".

Autour d'Elise (son vrai prénom), Lionel Dudognon son guitariste ( ah ce son de guitare !) et les autres musiciens assurent avec brio.

L'artiste pioche dans le répertoire de ses deux albums et les titres  se suivent comme "Ce matin" et "Like a river"( somptueux). Puis vient "les Passagers" qui voit le public frapper des mains et longuement ovationner le groupe.

 

"Je lui transmettrai" lance Berry en parlant de Daniel Darc, auteur de la chanson.

 

Retour ensuite à un titre intimiste avec "Non, ne le dis plus" puis s'en suit un crescendo de chansons plus belles les unes que les autres avec des titres comme "Partir Léger", "Le Bonheur", "Claquer", " Voir du pays" compo ramenée de rio aux rythmes bossa et maracas endiablées, avant de terminer avec "PLus Loin" et une version emballante de "Cheri".

Il est 21h50 et le public en veut plus.

 

En rappel Berry  fait appel à son pote Vincent Liben présent dans la salle pour un joli duo sur "Mademoiselle Liberté" avant de conclure en beauté avec l'envoûtant "Demain"

Le public est conquis et Berry semble émue et heureuse. Les applaudissements de la salle témoignent du pari gagné.

Après un concert pareil on ne peut que tomber amoureux de cette artiste inclassable dont la beauté et la sincérité de l'univers nous touche en plein coeur.

Bravo !

 

JPROCK

 

Photos du concert par JPROCK ici : -----------) link

 

 

 

Après son concert Berry m' a accordé un petit entretien que voici :

 

JPROCKREVIEWS : Berry tout d'abord bravo pour ton concert que j'ai trouvé tres rock au niveau des arrangements, et puis quelle aisance sur scène perchée sur ces talons hauts qui doivent bien faire 10 cm ! ( rires)

BERRY : Merci. En effet c'était un super concert ce soir. Quant aux chaussures à talons je ne les porte que sur scène et je suis contente de les enlever après, car on n'imagine pas le supplice de marcher avec ça ! Mais sinon je les aime bien ces chaussures et d'ailleurs, regarde, il y a une petite tête de mort sous la semelle, c'est tres rock attitude !! ( grand sourire).

JPROCKREVIEWS : Tes impressions sur le concert de ce soir et sur le public belge ?

BERRY : C'est toujours exceptionnel et un vrai plaisir de venir jouer en Belgique. C'est affectif. C 'est ici que tout a commencé, l'enregistrement au studio ICP, et cette formidable aventure du premier album qui  reste gravée dans mon coeur. D'ailleurs dès que je viens à Bruxelles j'essaie  de pouvoir  passer chez John(ICP).

JPROCKREVIEWS : Un premier album "Mademoiselle" qui fut une réussite et un premier disque d'or. Parle moi de cet album ?

BERRY : Avec Lionel ( Dudognon, son guitariste) on avait des maquettes et puis un jour à la crêche où allait ma fille j'ai fillé une demo à une maman qui travaillait chez Universal, et quelque temps plus tard on signait chez eux et on filait en studio enregistrer l'album. C'était magique, et tellement inattendu. Quel bonheur de travailler avec Manou(musiques), Lionel et des gens comme Erwin Autrique ( preneur de son- mix ICP ). Ensuite tout a été tres vite, le succès de l'album, la tournée à l'étranger, les voyages...

JPROCKREVIEWS : Le nouvel album semble plus produit, plus riche avec ces cordes et cet orgue omniprésent...

BERRY : Oui en effet. On a enregistré à New York, Paris, Bruxelles et on a eu la chance de travailler avec des gens comme Mark Plati qui joue des claviers sur l'album et qui s'est occupé du mix et des productions additionnelles et  aussi avec le génial Eumir Deodato qui s'est occupé des arrangements cordes. Et puis il y a Daniel Darc aussi...

JPROCKREVIEWS : Justement, parlons de Daniel Darc qui t'a écrit "les Passagers" ( titre de l'album), c'est un clin d'oeil évident à Iggy Pop, non ?

BERRY : Oui bien sur, et on l'assume, mais ce n'était pas voulu. C'est venu par hasard d'une mélodie au piano de Manou. Et puis Daniel est passé par là. "Nous sommes des passagers, il faut se dépêcher..." En une phrase Daniel a résumé ce que je voulais exprimer, c'était magique ! Et puis ce riff est arrivé, les influences rock de Daniel et on s'est dit que ça collait bien et tant pis si la presse allait peut etre nous égratigner, on assume à 100 %. Et puis c'est le récit de tout ce que j'ai vécu ces quatre dernières années.

JPROCKREVIEWS : Et tu as bien raison ce titre est formidable ! En écoutant ton travail on pense aussi à Gainsbourg à Bashung aussi...

BERRY : Oui bien sur, ils font partie de mes influences. Mark Plati a travaillé avec Bashung et j'avais beaucoup aimé son travail sur le titre "Sur un trapèze".

Sorry, je vais devoir te laisser, on va manger dans un resto au centre ville et j'ai peur d'ariver trop tard et que la cuisine soit fermée ( rires). Et puis je commence à avoir faim !

JPROCKREVIEWS : Je comprend. Un grand merci pour ta disponibilité, je t'embrasse , bon appétit et à bientôt !

 

( Propos recueillis par JPROCK)

 

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 22:27

 

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L'avis de Mitch " Zoso " Duterck :

 

Gary Rossington - guitar  Johnny Van Zant - Vocals Rickey Medlocke - Guitar Mark "Sparky" Matejka - Guitar Michael Cartellone - Drums Johnny Colt - Bass Peter Keys - Keyboards Dale Krantz Rossington- Honkettes Backing Vocals Carol Chase- Honkettes Backing Vocals 

 

 

Les Floridiens de Lynyrd Skynyrd étaient de retour à Londres pour la deuxième fois cette année. 

J'avais déjà fait le déplacement au HMV Appolo de Hammersmith le 3 juin dernier et c'est très impatient que j'effectuais ce deuxième pélerinage à peine 5 mois après avoir fait mes premières dévotions à la cause du Rock Sudiste. Comme quoi la ferveur... 

Alors qu'en juin il n'y avait pas de nouvel album à promouvoir, le nouvel opus "Last Of A Dying Breed" faisait l'objet de cette nouvelle tournée mondiale qui ne gratifiait pourtant l'Europe que de trois dates...anglaises ! On se demande bien à quoi pensent les promoteurs de ce côté-ci du Channel. 

Bref, On commence le concert avec l'entrée en scène de Gary Rossington, seul, comme pour rappeler qu'il était l'unique survivant de la formation mythique de 1977 et membre fondateur du groupe encore en activité au sein de Skynyrd. 

La slide guitar nous enmène d'emblée au coeur de ce Southern Rock qu'on aime tant avec "Last of a Dying Breed" plage qui ouvre le nouvel album. Et puis ça part vers un best of avec "What's Your Name" suivi de "Down South Jukin" et de "That Smell". 

Il y aura également deux autres titres du nouveau cd qui seront joués ce soir avec "One Day At A Time" et "Good Teacher" placés astucieusement dans le set pour servir à chaque fois de passerelle entre le glorieux passé et l'actualité de Lynyrd Skynyrd qui continue à sortir régulèrement de nouveaux albums. 

On aura beau dire que ce n'est plus 1977, d'accord, mais ces mecs jouent avec tout leur coeur et l'esprit des anciens est toujours là bien vivant et c'est certainement sur "Free Bird" que les frissons sont les plus forts. On voit presque les disparus se substituer à leurs représentants, leurs héritiers actuels. 

"Sweet Home Alabama" repris en choeur par toute une salle chauffée à blanc annonce la fin du set avant "The" Rappel...

Le moment le plus intense émotionnellement est sans doute lorsque Rick Medlocke effectue le saut traditionnel que faisait Allen Collins à la fin du monstrueux solo de "Free Bird". Tous les fans connaissent ce moment incomparable. 

L'ambiance est présente tout au long de ce magnifique concert bouclé en 1h35 mais  ces 95 minutes sont intenses, pas de parlotes inutiles, "music is the only thing"! 

Alors si j'ai un conseil à vous donner, allez voir ce band légendaire lors de leur prochain passage. C'est pour moi le meilleur groupe de rock Américian de tous les temps, une légende vivante. 

Oui, encore aujourd'hui, n'en déplaise à certains.

 

Setlist : 01 Last Of A Dying Breed 02 What's Your Name 03 Down South Jukin' 04 That Smell 05 One Day At A Time 06 I Know A Little 07 Simple Man 08 Gimme Back My Bullets 09 Whiskey Rock-A Roller 10 The Needle And the Spoon 11 Tuesday's Gone 12 Good Teacher 13 Gimme Three Steps 14 Call Me The Breeze 15 Sweet Home Alabama 16 Free Bird  

 

Texte et photo : Mitch "ZoSo" Duterck

 


 

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 13:14

 

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Le billet de JPROCK:

 

Etrange. Peu de monde aux alentours du singel noord lorsque je gare ma limousine à l'endroit habituel, et lorsque je me dirige à pied vers la salle anversoise c'est à peine si je croise quelques âmes perdues qui vont vers le Lotto Arena.

 

L'explication est simple: lorsque je pénètre dans la salle un stewart m'indique que je peux prendre place où je veux au balcon car il reste pas mal de places vides.

En effet la salle doit etre remplie aux 2/3 de sa capacité et les gradins de coté sont plutôt clairsemés.

Les Cranberries n'ont visiblement pas fait le plein ce soir, mème si juste avant le début du concert un public tardif se rajoute à l'appel.

Pourtant le dernier album "Roses", l'album du retour, peut etre considéré comme une réussite, allez comprendre...

 

Il est 20h et c'est au chanteur-compositeur belge Anton Walgrave que revient la lourde tâche de chauffer la salle. Seul sur scène, accompagné d'une boite à rythmes et de sa guitare le belge interprète pendant environ vingt cinq minutes quelques ballades agréables. Il possède une voix chaude mais assez conventionelle et sa prestation ne laissera pas un souvenir impérissable dans l'esprit de l'auditeur lambda, à moins d'etre fan bien sur.

 

Il est 21h lorsque les Cranberries déboulent sur scène et attaquent "Dreams".

Dolores O' Riordan, super sexy dans sa petite robe en paillettes dorées sous une veste militaire grise tres seyante arpente la scène de long en large. Il est évident que l'élément phare du band est sa charmente chanteuse. Ce petit bout de femme à la voix si facilement reconnaissable fait le show à elle seule, le reste du groupe bien que tres efficace reste plutôt assez statique. Noel Hogan, Mike Hogan, Fergal lawler ainsi que les 2 musiciens complémentaires qui les accompagnent sur scène ne sont pas vraiment des bêtes de scène.La voix de Dolores semble totalement retrouvée apres de petits soucis de nodules aux cordes vocales en 2010.

En vingt morceaux  retraçant toute leur carrière de "Linger" à J"ust my Imagination" en passant par "I can't be with you", "Schizophrenic Playboys", "Ridiculous Thoughts" et l'incontournable "Zombie" en fin de set, les Cranberries donnent un  concert best of qui ravit les fans.

Dolores de temps à autre enfile une guitare presqu'aussi grande qu'elle et s'éclipse par deux fois pour aller changer de tenue.

En rappel le groupe revient interpréter "Conduct" un des meilleurs titres issu de "Roses" suivi de "Losing my mind" et d'un "Salvation libérateur" venant en conclusion d'un show efficace et sympathique.

Quelques fans jettent des roses rouges et blanches à Dolores, le public semble ravi, et ce qui risquait d'etre un flop public il y a moins de 3 heures se transforme en un joli retour du band irlandais.

 

Comme quoi en matière de rock comme en toute autre chose, il ne faut jamais vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué.

 

Setlist:

 

Dreams 

Linger 

When You're Gone 

Tomorrow 

How 

Animal Instinct 

Just My Imagination 

You and Me 

Put Me Down 

Twenty One 

Analyse 

Desperate Andy 

I Can't Be With You 

Shattered 

(instrumental)

Waltzing Back 

Raining in My Heart 

Free To Decide 

Schizophrenic Playboys 

Ridiculous Thoughts 

Zombie

 

Encore:

Conduct 

Losing My Mind 

Salvation 

 

 

JPROCK

 

Photos du concert par JPROCK ici : ---------) link

 

 

 

 

 

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11 novembre 2012 7 11 /11 /novembre /2012 14:15

 

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Le billet de JPROCK:

 

Apres deux Sportpaleis en juin, Johnny Hallyday est de retour ce soir à Forest National où il est un peu chez lui, tant le bastion forestois est devenu sa salle mythique en Belgique.

Vers 19h, l'esplanade de Forest National est noire de monde, et lorsque les portes s'ouvrent on assiste à l'habituelle bousculade préambule obligé à un concert du taulier.

Un concert de Johnny, ça se mérite !

 

Passons sur une première partie plus qu'anecdotique avec l'insipide Toma ( où sont ils allé le chercher ?!) pour nous intéresser au concert de ce soir.

 

Johnny entre sur scène  et on remarque immédiatement que le show est quelque peu simplifié par rapport au Sportpaleis. L' effet 3D est moins réussi (ceci explique celà) et certains tableaux sont absents du spectacle, mais question énergie l'homme est en forme et très en voix, et pendant plus de 120 minutes on va etre gâté.

 

Pourtant les choses démarrent mal avec un problème de sonorisation du micro de la star sur "Allumer le feu". Pendant le premier couplet et le refrain Johnny n'est pas amplifié et c'est la salle qui assure les vocaux, mais les choses vont rapidement rentrer dans l'ordre et la suite sera vocalement irréprochable.

La setlist est pratiquement similaire à celle jouée au Sportpaleis, excepté "Poème sur la 7e " sans doute passé à la trappe pour cause d'absence d'orchestre symphonique.

 

On sent Johnny heureux d'etre là.

Souvent il se rapproche de son public et semble avoir envie d'enjamber les barrières de sécurité. Le band quant à lui reste excellent avec une mention spéciale à Greg Zlap à l'harmonica réellement éblouissant et au batteur écossais Geoff Dugmore sans doute un des trois meilleurs drummer de toute la carrière de la star. Sans oublier la formidable choriste Amy Keys qui sur "I who have nothing" rivalise de puissance vocale avec le patron, ce qui on le sait tous, n'est pas une mince affaire.

 

Lors du set acoustique en milieu de salle Johnny annonce avec émotion le décès ce matin mème d'un de ses chauffeurs de tourbus avec qui il a collaboré pendant plus de vingt ans et lui dédie "Salut Charlie".

Emouvant hommage sans nul doute difficile à gérer pour toute la troupe.

Mais the show must go on...

Le final ponctué par l'Envie est exceptionnel de puissance.

 

En rappel "Toute la musique que j'aime" voit les deux gratteux Yarol Poupaud et Robin Le Mesurier se planter allègrement rythmiquement avant de se reprendre, et un Johnny visiblement troublé qui oublie de redémarrer le chant au bon moment. Amusant.

Mais finalement ce joyeux bordel n'en est que plus jouissif et fait du bien dans un show milimétré dans lequel l'improvisation est de plus en plus absente.

Comme c'est la tradition Johnny termine chaque concert par un piano voix et ce soir apres l'Attente, titre phare de son nouvel album qui sort ce lundi il nous gratifie d'un émouvant "Quant on a  que l'amour" dédié au grand Jacques et au public belge.

 

"Merci à tous, je vous aime..."

 

Nous aussi on t'aime Johnny, longue vie à toi !

 

JPROCK

 

Photos du concert par JPROCK ici : ------------) link

 

 


 

 


 

 



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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 15:03

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L'avis de Pierrot Destrebecq:

 

Vendredi 2 novembre 2012, j'assiste avec Margaret à l'AB au concert de Simone Felice, l'ainé des Felice Brothers.

 

C'est un peu le hasard qui m'a conduit là.

Le concert devait avoir lieu en septembre et a été reporté, laissant JPROCK et JHDG dans l'impossibilité d'y être. J'ai donc accepté avec un immense plaisir l'offre qui m'a été faite de profiter des tickets d'entrée.

Merci encore d'avoir pensé à nous.

 

Le concert se déroule dans la petite salle de l'AB Club. Quelques chaises, le bar, la scène et quelques amateurs de musique discutant le coup m'attendent au haut de l'escalier.

Pas encore grand monde, on a donc des places assises au deuxième rang.

 

Remue ménage sur scène, un grand gars barbu vient accorder les guitares puis disparait, bientôt remplacé par un énergumène à quatre pattes qui, assis sur scène, ré-accorde une guitare, puis se lève et salue le public.

"Hello... thanks for coming ", … le concert commence.

Par des coups de talon furieux, Simone Felice martèle le sol, acccompagnant le rythme de sa gratte pour le premier titre du show, “Hey Bobby Ray”.

Matthew Green se décarcasse en glissant son bottleneck sur le manche de sa Dobro. La salle est comble.

Le titre suivant, écrit pour sa fille Pearl de “2,3 years old (sic) et intitulé “You & I Belong” provient aussi de son nouvel album, comme “New York Times”. Ensuite il reprend un titre qu'il a chanté il y a une quinzaine d'année avec ses frères “Your Belly In My Arms”, écrit à une époque où cela le faisait flipper d'apporter un enfant dans ce monde et dans ce pays où les gens pendent les leurs “haut et court” aux branches des arbres.

Suit “Shake Me” écrite pour un ami qui a fait la guerre en Irak, puis une chanson d'amour “Charade” extraite du dernier CD.

 

A ce stade il nous rapporte que sa mère leur avait dit qu'elle était très fière de ce qu'ils faisaient (Simone et ses frères) mais pourquoi chantaient-ils toujours des chansons parlant de drogue, de prostitution, et de mort?

Voici donc une chanson du premier album des Felice Brothers au sujet d'un gars qui tombe amoureux d'une prostituée héroïnomane  qui meurt à la fin : “Don't Wake The Scarecrow “.

“If You Ever Get Famous” suit et il nous parle alors de Levon Helm ( ex The Band ), un de ses modèles, mort il y peu dont il chante “Up On Cripple Creek” et “Radio Song”.

Il termine par “Helpless” de Neil Young, accompagné par la salle.

Exit le band, rappel et retour sur scène de Simone Felice seul, qui nous parle des élections prochaines dans son étrange pays et des panneaux publicitaires géants payés par les “ weird catholic right wing nuts supporting Mitt Romney ” où on pouvait lire entre autre “Wind dies, Sun sets, choose Caol” ou encore “ America or Obama, you can't have both ”.

Il terminera son rappel avec Matthew Green par “One More American Song” et “Atlantic City” de Bruce Springsteen et aussi interpretée par Levon Helm, qu'il dédiera à tous ses “Brothers and Sisters” affectés par l'ouragan Sandy.

 

Bon concert, comme toujours trop court quand on aime bien.

 

Texte et photo Pierrot Destrebecq

 

 

 

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8 novembre 2012 4 08 /11 /novembre /2012 12:14

 

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L'avis de Mitch " Zoso" Duterck :

 

 

Steve Miller Band : 2012.11.02 - L'Olympia, Paris, France Line Up : Jacob Petersen : guitars & backing vocals Joseph Wooten : Keyboards & backing vocals Steve Miller : guitar, lead & backing vocals Kenny Lee Lewis : bass & backing vocals Sonny Charles : lead & backing vocals Gordy Knudtson : drums .
 

Dix jours à peine après l'avoir vu à l'Ancienne Belgique, je me rendais hier à l'Olympia de Paris pour revoir le Steve Miller Band.
Pour l'occasion, je m'étais offert une place dans le carré d'or, assis au 4ème rang, plein centre face à la scène. Comme pour la torunée précedénte, une grande toile floquée "Space Cowboy" dissimule la scène à nos yeux avides jusqu'à ce que résonnent les premières notes de "Jungle Love".
 
D'emblée on sent que c'est bien parti et d'ailleurs la machine est superbement bien rodée. On enchaîne avec 3 autres morceaux dont le hit mondial "Abracadabra" avant de faire un petit coucou au public frenchy qui se déride un peu. Certains se sentent même investis de la mission de traduire à voix haute à leur compagne admirative les propos du sieur Miller pourtant très compréhensibles pour autant qu'on parle la langue de Shakespeare, avec l'accent parisien, çà tue !
 
Encore une fois, les harmonies vocales des 5 chants sont parfaites et la balance sonore est de la même veine. Le seul petit bémol vient des éclairagistes qui ne suivent pas les artistes lorsqu'ils venaient vraiment en bord de scène (un comble à Paris) et du coup, ces pauvres musiciens se retrouvaient dans le noir total.
Steve prend plaisir à jouer et le communique très bien à l'assistance ravie de constater, un peu comme avec John Fogerty, que le gars sur scène et qui affichera bientôt 70 ans au compteur a écrit plein de chansons "qu'on connait mais qu'on ne savait pas que c'était lui". Ca aide pour l'ambiance.
 
Comme à Bruxelles, le répertoire se joue dans le même ordre et conjugue aussi bien la pop que le rock et le blues.
On y va de quelques reprises au travers desquelles Steve Miller rend hommage à ses héros dont le fameux Otis Rush, notamment avec "Further On Up The Road", "All Your Love" (I Miss Loving), Ooh Poo Pah Doo" ou encore "Just Got Back From Texas".
Superbe petit passage acoustique en solo de trois titres avant de terminer avec "Jet Airliner", "Rock'n Me" et "The Joker" les pièces de résistance qui mettent le public debout, il était temps !
 
Une heure cinquante minutes d'un excellent concert encore une fois. A cause d'une première partie assurée par "In Between The Band" et les impératifs horaires dus à la situation de la salle, il y aura deux rappels en moins qu'à Bruxelles mais ne boudons pas notre plaisir, c'était très très bien! A revoir.
 
Setlist:
Intro 01. Jungle Love 02. Take The Money And Run 03. The Stake 04. Abracadabra 05. Mercury Blues 06. Further On Up The Road 07. Shu Ba Da Du Ma Ma Ma Ma 08. All Your Love (I Miss Loving) 09. Kow Kow Calqulator 10. Ooh Poo Pah Doo 11. I Just Got Back From Texas 12. Sugar Babe 13. Serenade 14. Wild Mountain Honey (Acoustic Solo) 15. Gangster Of Love (Acoustic Solo) 16. Dance Dance Dance (Acoustic Solo) 17. The Window 18. Living In The U.S.A. 19. Space Intro : Fly Like An Eagle 20. Jet Airliner 21. Rock'n Me 22. The Joker.

Texte et photos: Mitch " Zoso" Duterck.   --------------) link



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7 novembre 2012 3 07 /11 /novembre /2012 12:30

 

 

 

 

Le billet de JPROCK :

 

Glen Hansard officie au sein des Frames et de the Swell Season et  de temps à autre il sort un album solo tres réussi comme l'excellent  Rhythm n Repose sorti en 2012 sur le label Anti.

Ce soir sa tournée européenne fait halte au Cirque Royal. Un Cirque où se presse une foule nombreuse qui en guise de hors d'oeuvre aura droit à la douce et gracile Lisa Hannigan.

La jeune femme nous emmène dans l'univers de son Irlande natale avec grâce et talent.

D'abord seule sur scène puis rejointe par un violoniste, un claviériste, un batteur et un guitariste , en réalité des membres des Frames de l'Ami Glen, la jolie Lisa nous enchante pendant pres de trente cinq minutes d'un folk celtique sobre et élégant .

 

Il est 21h lorsque Glen Hansard monte sur scène accompagné de ses musiciens dont la plupart sont issus des Frames. Coiffé d'un bonnet de laine, Glen remercie le public d'etre venu ce soir et s'assied au piano électrique pour "The Storm, It's coming".

Un quatuor à cordes fait son apparition ainsi qu'une section de cuivres.

Reprenant de temps à autre quelques standards  comme "Respect" de Otis Redding , un titre de John Martyn ou "Astral Weeks" de Van Morrison, la soul blanche de Glen Hansard se révèle rurement efficace.

Les ballades habitées succèdent aux titres plus enlevés, le tout accommodé d'un sens de l'humour aigu. L'homme est très à l'aise sur scène et sa présence, son énergie et sa voix font le reste.

Mouillant réellement sa chemise on stage et en totale osmose avec son public, il fait monter quelques fans sur scène afin d'assurer les choeurs  avec brio d'ailleurs, et petit à petit sa prestation monte en puissance.

Glen dialogue beaucoup avec la foule et prend visiblement un énorme plaisir sur scène où il dégage une belle énergie, au point mème que de temps à autre on pense à Springsteen dont il reprendra d'ailleurs "Drive all Night" dans une version longue et ennivrante en  deuxième rappel .

Au total 160 minutes d'un show bouillonant d'une générosité incroyable  qui restera pour longtemps gravé dans nos mémoires.

Un énorme concert !

 

Texte et photo : JPROCK

 

Setlist :

 

The Storm, It's Coming  

Talking with the Wolves 

Love Don't Leave Me Waiting (with "Respect' snippet by Aretha Franklin)

Philander  

When Your Mind's Made Up (The Swell Season song)

Low Rising (The Swell Season song)

Bird of Sorrow  

Leave (The Swell Season song)

Back Broke (The Swell Season song)

Hairshirt (R.E.M. cover)

Astral Weeks (Van Morrison cover) (with "Smile" snippet by Pearl Jam)

High Hope  

Moving On (with "Maybellene" snippet by Chuck Berry)

This Gift  

Falling Slowly (The Swell Season song) (with Lisa Hannigan)

Fitzcarraldo (The Frames song)

Revelate (The Frames song)

Star Star (The Frames song) (with snippets of "Hotellounge"… more)

Song of Good Hope 

 

Encore:

Say It to Me Now (The Frames song)

Gold (Interference cover)

Don't Do It (The Band cover)

Blue Moon (with Lisa Hannigan) (standard cover)

Drive All Night (Bruce Springsteen cover) (with snippets of "Heyday" by … more)

 

 

 

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1 novembre 2012 4 01 /11 /novembre /2012 13:12

 

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Le billet de JPROCK:

 

Pas de support act. Full Show !

En effet , ponctuel comme une horloge suisse, le Steve Miller Band apparait sur scène à 20h15 apres qu'un rideau sur lequel trône fièrement un cowboy pret à dégainer ai chuté sur la scène de la salle bruxelloise.

Le public venu en nombre (le concert est sold out) lui fait une jolie ovation.

Derrière les musiciens un décor où d'immenses oreilles semblent flotter dans l'air et s'illuminent.

C'est avec "Jungle Love" suivi de "Take the Money & Run", "The Stake" et "Abracadabra"que le band prend son envol. Le son est identique a celui qui caractérise le band sur ses albums, clair, précis, moelleux comme un bon vin. 

Steve Miller chante bien et possède toujours un jeu de guitare assez éblouissant, et des titres comme "Mercury Blues" qui date de 1967, "Shu ba da du ma ma ma", "Kow Kow Calqulator" ,le remuant "Sugar Baby" et "Serenade" enchantent nos oreilles.

Car le principal atout du SMB est dans sa musique, le combo n'étant pas réellement un groupe exubérant on stage.

Autour du boss on trouve LR Jacob Petersen à la guitare, Joseph Wooten aux claviers, Kenny Lee lewis à la basse, Gordy Knudtson à la batterie et l'excellent Sonny Charles, ex lead vocalist des Checkmates aux vocaux.

 

Lorsque Steve s'installe en bord de scène pour un intermède acoustique voix-guitare il déploie alors toute l'étendue de son talent.

Nous avons droit à trois titres : "Wild Mountain Honey", "Gangster of Love" et "Dance Dance Dance".

Le groupe revient ensuite sur scène épauler son leader pour une jolie version de "The Window".

 

Retour à l'électricité avec la dernière ligne droite du show qui va littéralement monter en puissance avec des classiques comme "Living in the USA" et son orgue hammond entêtant, le somptueux "Fly like an eagle", l'excellent "Jet Airliner" et le populaire "Rock n me".

 

Le public en veut plus et rappelle le band qui revient interpréter "Swingtown" avec ses whooo oooh oooh chantés en choeur par la foule, avant de s'attaquer à "Space Cowboy" et de conclure avec le mythique "The Joker".

 

Un bon concert dans son ensemble qui aura ravi la plupart des spectateurs présents ce soir.

Steve Milller fut égal à lui mème ce qui en soit est déjà un bien joli compliment.

 

JPROCK

 

Photos du concert par JPROCK ici : ---------) link

 

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 12:05

 

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Le billet de JPROCK:

 

Le britannique Richard Hawley est un artiste étonnant qui construit petit à petit sa carrière au fil de ses albums et qui est devenu aujourd'hui un artiste incontournable respecté par tous.

Chaque album du crooner de Sheffield témoigne d'une élégance et d'un raffinement suprème qui met en valeur sa voix grave et son jeu de guitare étincelant.

Pas étonnant donc qu'une fois de plus son concert de ce soir affiche complet depuis des semaines.

 

En avant programme les Smoke Fairies annoncées avec beaucoup d'enthousiasme ne m 'ont pas réellement convaincu. Katherine Blamire et Jessica Davies forment un duo folk voix-guitares acoustiques  agréable à écouter mais sans aucune surprise ni originalité. Elles démarrent leur set devant une salle pratiquement vide et leurs jolies voix féminines posées sur des arpèges légers et finement ciselés ne recueillent que des applaudissements polis.

 

A 20h30, la salle est comble pour accueillir le héros de la soirée : Richard Hawley.

Entouré d'un band rudement efficace Richard s'avance en bord de scène et lance dans son micro : "Let the ceremony begin ! "

Les premiers accords de "Standing at the Sky's Edge" résonnent dans l'AB.

Le jeu de guitare éblouissant du britannique et son humour pince sans rire vont faire mouche tout au long du concert.

Depuis True Love's Gutter en 2009 l'homme a accèdé à une reconnaissance publique et pourtant il garde une modestie à toute épreuve. Sa voix de crooner incroyable et le son  de sa guitare emplissent l'espace sonore de la salle. On pense à Link Wray, à Chris Isaak, aux Doors...et pourtant c'est bien du Richard Hawley.

L'homme parle souvent à son public, le titille, égratigne le téléchargement en mp3, défend le coté objet du cd et du vinyl, incite à boycoter les téléchargements, et réagit avec humour aux réactions du public.

On sent qu'entre ses musiciens et lui il ya un lien évident. "Nous sommes un peu comme des siamois" a t'il déclaré un jour en interview. Ses compos envoûtantes, souvent mid-tempo dans lesquelles son jeu de guitare laidback fait merveille et où chaque note trouve sa place se révèlent imparablement modernes avec cette petite touche retro immédiatement reconnaissable. On se sent happé par ce déluge subtil de notes qui nous emmène tres loin sur la planète plaisir.

Apres 1h30 de show Richard Hawley annonce le dernier titre : "Down in the Woods".

 

"It's time to say goodbye.Thank you people from Brussel !" lance t'il à un public qui l'ovationne longuement... 

"You gonna make me cry..."


Le rappel sera tout aussi somptueux que ne le fut le concert avec "Lady Solitude" et une superbe version de "The Ocean".

Richard remercie un fois de plus la foule et visiblement ému par l'accueil qui lui a été réservé ce soir déclare :

"Thank you people, this is the highlights of the tour !"


Et dans la bouche d'un artiste comme Richard Hawley, on sait que cette affirmation est sincère.

 

Un immense concert.

 

 

Setlist :


Standing at the Sky's Edge 

Don't Stare at the Sun 

Hotel Room 

Tonight the Streets Are Ours 

Seek It 

Soldier On 

Leave Your Body Behind You 

Before 

Open Up Your Door 

Remorse Code 

Time Will Bring You Winter 

Down in the Woods 

Encore:


Lady Solitude 

The Ocean

 

JPROCK

 

Photos par JPROCK ici : --------) link

 


 

 



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