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27 juillet 2013 6 27 /07 /juillet /2013 16:29

Hello dear JPROCKREVIEWS readers !

Comme vous l'avez peut etre remarqué, j'ai décidé de mettre fin à la parution de mes chroniques sur JPROCKREVIEWS depuis mai 2013.

Dorénavant mes chroniques seront publiées avec la mention "Le billet de JPROCK" sur:

http://concerts-review.over-blog.com/

ainsi que sur ma page facebook :

https://www.facebook.com/jeanpierre.vanderlinden.5

Merci à toutes et tous pour votre fidélité, vos lectures et vos commentaires, et à bientôt sur le net pour d'autres aventures musicales.

Vous savez maintenant où me lire... ;0)

Friendly,

JPROCK.

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9 mai 2013 4 09 /05 /mai /2013 14:46

 

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Le billet de JPROCK :

 

Belle affluence à Forest National cer soir pour le concert de M qui affiche presque sold out.

En avant programme on a une jolie surprise avec l'excellent groupe écossais Bwani Junction.

Ces quatre jeunes gens originaires d'Edimbourg dont la moyenne d'age tourne autour de vingt ans et que la presse britannique compare à Foals ou à Vampire Weekend nous proposent une musique faite d'indie pop et d'afro beat particulièrement réjouissante. Leur album Fully Cocked est hautement recommandable et ce soir avec une folle énergie ils vont nous offrir un set pétillant se payant mème le luxe de revisiter de belle manière le standard des Pogues "Dirty old Town"

Un band à tenir à l'oeil assurément.

 

21h, perché sur une scène mobile M démarre son concert sur les chapeaux de roue. Voix haut perchée (agaçante pour certains et j'avoue que c'est un peu mon cas...), guitare acérée, rythmique lourde et funky, on aime ou on déteste c'est selon.

 

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Pendant deux heures Mathieu Chedid va ballader son personnage dans un barnum clinquant fait de projos impressionnants en forme de M , d'une plateforme mobile qui traverse le public et de deux tours métalliques sur lesquelles le français se perche et surplombe son public. Tout celà en alignant la plupart de ses titres phares comme "Machistador", "Je dis Aime", "La Seine" (extrait du film Un Monstre à Paris), "Onde Sensuelle", "Aujourd'hui j'ai saisi ma chance", l'inévitable "Mojo" et biens d'autres.

Un show impressionnant, mais qui n'évite pas les temps morts ni les petites chorégraphies un poil racoleuses dans le style tout le monde lève les bras et les balance de gauche à droite ou tout le monde se met sur la pointe des pieds et saute ... 

Il s'offira mème un petit stage diving, guitare à la main et porté par le public, au grand bonheur de ses fans.

Un show clinquant qui fait la part belle à la forme, mais qui hélàs délaisse un peu le fond.

On sent que Mathieu a fait le tour de son personnage et en est quelque peu prisonnier. Bien sur c'est un guitariste de talent mais cette formule en trio accompagné d'un batteur et d'un bassiste homme-machine multi-instrumentiste n'est elle pas un peu réductrice ?

Pas facile à trois de donner de l'envergure à cette musique et la moindre erreur se paie cash.

 

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Mais le public n'en a que faire de toutes ces considérations critiques, il marche à fond dans le jeu et rappelle son favori.

M revient sur scène en formule acoustique rejoint ensuite par ses deux musiciens, remercie sa famille (sa fille et sa soeur sont présentes dans la salle) et honore ensuite sa mère avec "Baia.

 

"Ma mère serait fière de vous si vous chantez avec moi..."

 

...et M fait chanter la salle sur un final qui sombre un peu dans la variété facile.

Une fin interminable avec ce titre digne d'une mauvaise cover des Gipsy Kings.

Touchant, mais peu enthousiasmant.

 

Pourtant le public, lui semble apprécier, mème si j'avais personnellement rêvé d'une fin de concert plus héroique.

 

23h, deuxième rappel,  M demande un vrai silence dans la salle, chante un titre assez soporifique avant d'offrir en guise de conclusion une interprétation de la chorégraphie de "Mojo" dansée avec ses musiciens et singé par le public (sur un playback bien sur, pas moyen de danser et de jouer en mème temps).

Le public est ravi, les nombreux enfants présents dans la salle aussi, mission accomplie.

 

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M est arrivé à un degré énorme de popularité, il remplit les salles et vend des caisses de cds, mais je ne peux m'empêcher de regretter l'époque où Mathieu était créatif, limite alternatif, et nous balançait du Jimi Hendrix en concert entre deux compos géniales, sans chichis, et entouré de petites fleurs mécaniques qui dansaient au son de sa musique.

Aujourd'hui M est devenu une sorte de super-héro étouffé par une surenchère de moyens, qui devra veiller dans le futur à  ne pas devenir une caricature de lui mème.

 

Texte et photos : JPROCK.

 

 
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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 21:58

 

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Le billet de JPROCK:

 

J'ai toujours eu une grande admiration pour Axelle Red, néanmoins la rousse incendiaire m'avait quelque peu laissé sur ma faim lors de sa dernière tournée et un concert au Cirque Royal qui fut dans son ensemble assez terne et un peu triste à l'image de l'album Un coeur comme le mien.

C'est donc avec beaucoup de satisfaction et un énorme espoir que j'ai accueilli la sortie de son nouvel opus Rouge Ardent.

Avec cet album la limbourgeoise en revient aux orchestrations riches et pop-soul qui ont fait sa réputation et nous propose quelues compos dignes de devenir des standards comme "La maison désertée" et le sublîme titre qui donne son nom à l'album, sans doute une des plus belles compos de toute sa carrière.

Une vraie réussite que cet album très abouti qui sert de tremplin au concert de ce soir.

 

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Ce soir, l'AB est en configuration semi-flex et affiche complet, Axelle Red est annoncée à 20h30.

Je trouve refuge au 5e rang des fauteuils en bord de rangée comme d'habitude, et c'est avec impatience que j'attend son arrivée sur les planches.

 

Il est 20h45 lorsque la salle est plongée dans le noir, des néons rouges s'allument et sept musiciens et choristes balancent une rythmique soul tandis qu'Axelle déboule sur scène en salopette noire sexy. Elle empoigne une guitare et démarre son set avec "Amour profond".

Le ton est donné, ça groove un max et le band est réellement bluffant.

 

Axelle salue la foule en néerlandais puis en français et nous explique que le thème du départ est à l'origine de son album Rouge Ardent.

Puis elle nous emmène "Sur la route sablée" et on la suit avec bonheur en se délectant de cette superbe orchestration. Elle enchaîne avec "Elle danse seule "magnifique de mélancolie bluesy et porté par ce hammond vrombissant et ces coups de caisse claire hypnotiques. On a droir ensuite au très soul "C'est une ville".

Axelle est souriante et très en voix, quel contratse avec la dernière tournée ! Et c'est comme ça qu'on l'aime.

 

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C'est l'instant d' une ballade douce amère sur l'amour qui se termine mal avec "Je te l'avais dit"avant qu'un piano trouble le silence et que la voix de la chanteuse se pose pour "Quelque part ailleurs". Magnifique.

Petit flashback  avec "A tâtons", ça swingue, ça groove, c'est bon !

"Jure !" et "Rester femme" longue plainte soul à la guitare enivrante enfoncent le clou de belle manière.

 

Axelle nous parle alors de "Ce coeur en or" puis d' "Un été pour rien" magnifique, aux harmonies vocales envoûtantes.

Un orgue à la Procol Harum style A whiter shade of Pale se fait entendre. Aux claviers c'est excellent Dominique Vantomme, dont j'ai croisé le chemin quelques fois lors de concerts avec son groupe Root, qui se lâche et nous emmène loin avec "Parce que c'est toi" sublimé par la voix d'Axelle. Ensuite la jolie rousse nous en met une avec "La Claque" dans un registre country-funk.

"De mieux en mieux" cloture brillamment la première heure de concert et Axelle quitte la scène.

 

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Le public la rappelle et le band revient suivi de sa chanteuse en mini robe dorée pour une version ébouriffante de "Le Monde tourne rond".

La salle est debout et l'ambiance monte encore d'un cran avec "C'est ma prière",très funky, et éclate littéralement avec "Aphrodisiaque". Axelle Red se lache et le band met toute la gomme.

 

Il est 22h05 et le public  toujours pas rassasié rappelle une seconde fois sa star à la chevelure de feu.

 

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Aux premiers accords de "Rouge Ardent "une clameur intense émane de la foule qui accueille comme il se doit cette immense chanson qui prend encore en live une dimension émotionnelle supplémentaire.

Là on frôle le divin.

La limbourgeoise le sait et après un dernier salut elle quitte définitivement la scène.

Il n'y avait pas plus belle signature que ce titre magistral pour cloturer un concert parfait de bout en bout.

 

De la passion , du feu, des flammes, du rouge ardent, la Belgique a sa diva soul et elle se nomme Axelle Red.

 

http://sphotos-h.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-prn1/529634_502050766475637_34082248_n.jpgTexte et photos: JPROCK.

 

 

 

 

 

 


 

 



 

 

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 11:16

 

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Le billet de JPROCK :

 

Depuis l'excellent accueil de son double album La Superbe Benjamin Biolay surfe sur la vague du succès.

Le spectacle de cette tournée 2013 faisant suite à son nouvel opus Vengeance est annoncé comme sombre et très rock; on est curieux de voir ça.

 

19h45 Mathis Gardel est chargé de chauffer la salle.

Jeune songwriter de talent, Mathis est issu de la génération du renouveau de la pop française influencé par ses ainés comme Daho et Bashung , et le jeune homme a trouvé écho auprès de Benjamin Biolay. Il faut dire que l'on a déjà eu pire  comme support act et dans le genre il s'en sort bien misant tout sur sa voix et un style plutôt convainquant. Son single "Reste Encore" est une bonne surprise.

 

Il est 20h35 lorsque le chiffre 600 s'affiche en lettres lumineuses en fond de scène. Les secondes s'égrènent lentement jusqu'à l'arrivée sur les planches de l'artiste après une courte introduction remplie d'autodérision :

"Biolay fait de la pop française comme de la pop anglaise mais en moins bien" annonce cyniquement une voix qui émane de la sono.

 

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Après un "Cactus Concerto" déroutant Benjamin et ses musiciens entonnent "Sous le lac gelé". Le son est excellent et c'est à une prestation d'un vrai band soudé que nous allons assister deux heures durant.

 

"C'est bien d'etre ici, ça fait longtemps" déclare le chanteur.

 

Et de se lancer dans une magnifique interprétation de "La Superbe". Benjamin Biolay est enfin plus à l'aise sur une scène qu'il parcoure de long en large, parfois le poing levé lorsque la foule l'acclame. On sent de la maturité dans la prestation du français et la setlist qui allie nouveaux titres et incontournables de son répertoire est parfaite.

Quant au spectacle il est basé sur les clairs-obscurs et les ambiances sombres et étranges alliant poésie et énergie.

Les riffs de guitares rock sont fréquents et on est ici très loin d'une chanson française de variété.

Quelques touches 80's comme dans "Aime mon amour", un son qui devient plus dense (dance?) sur "Rendez vous qui sait" ou funky sur "Qu'est ce que ça peut faire". Benjamin explore les sons et les ambiances, les triture, se montre intimiste sur "Confettis", lache les chiens sur "Ground Zero Bar" flirte avec l'electro pop sur" A l'origine" et nous balance un Padam très funk.

Il est 22h22 et l'AB en veut plus.

 

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Benjamin réapparait sur scène avec dans son ombre une silhouette gracile d'une jeune femme qui le suit. On reconnait les premières notes de "Profite" et c'est une immense ovation qui accueille Vanessa Paradis venue en guest partager la scène avec Benjamin. Le public est aux anges et le français reviendra une seconde fois nous interpréter "Marlène est aux Anges" et "Les Cerfs Volants".

Un concert impeccable qui fait assurément de Benjamin Biolay une valeur sure en live.

 

Texte et photos : JPROCK.

 

 

 

 

 

 

Setlist :

Cactus concerto 

Sous Le Lac Gelé 

La Superbe 

La Pénombre des Pays-Bas 

Dans La Merco Benz 

Laisse aboyer les chiens 

Aime mon amour 

Chère Inconnue 

Rendez-vous qui sait 

Qu'est Ce Que Ça Peut Faire 

Ton Héritage 

Ne regrette rien 

Dans mon dos 

Confettis 

Ground Zero Bar 

15 septembre 

Personne dans mon lit 

A L'origine 

Padam 

Encore:

Profite 

(with Vanessa Paradis)

Encore 2:

Marlène déconne 

Les Cerfs Volants

 

 
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4 mai 2013 6 04 /05 /mai /2013 14:22

 

 

 

Le billet de JPROCK :

 

Chanteur et auteur-compositeur américain John Grant est le membre fondateur des excellents Czars qui ont connu une carrière plus que respectée pendant une décennie allant de  1994 à 2004.

Depuis , le grand barbu officie en solo. En 2010 il sort un premier album Queen of Denmark en collaboration avec le groupe Midlake et l'album est élu disque de l'année par le tres respecté magazine britannique Mojo.

Il y a quelques mois un deuxième opus intitulé Pale Green Ghosts voit le jour sur le label Bella Union.

John y aborde sans retenue et parfois avec cynisme son ex addiction aux drogues et à l'alcool ainsi que son homosexualité totalement assumée. Le tout avec classe et humour.

 

Ce soir c'est en live qu'il défend son dernier né.

A 20h15 les premières mesures de "Ernest Borgnine" se font entendre dans l'Orangerie.

Sur scène John est entouré de quatre musiciens : guitare, basse, drums et un clavier+beatmaster.

 

 

 

L'américain se plante devant son micro et habillé d'un t shirt et d'un jeans trop large il parait un peu pataud avec sa manière de se déhancher au son de sa musique qui prête parfois à sourire, mais l'homme est sympa et surtout sa musique est étonnante.

 

" Good evening ! Thank you for coming ! " lance t'il à son public.

 

Devant lui l'Orangerie n'est pas sold out mais est correctement remplie par un public diversifié qui va de l'amateur de dance floor au féru de rock indé en passant par quelques couples homos touchés par ce grand bonhomme barbu et souriant. Il faut dire que son rock teinté d''électro fait mouche et sa voix douce et apaisante se marie parfaitement avec les rytmiques electro et les synthés.

 

 

 

Sans cesse partagé entre son pied de micro en front de scène et ses claviers John se livre à un étrange ballet d'aller-retour qui donne parfois le tourni. Les titres s'enchainent avec bonheur : "You don't have to", "Vietnam", "GMF", "It doesn't matter", "PGG", "Marz"et "Blackbelt".

John dédicace un titre "Snag" à un ami qui s'est suicidé mais retrouve rapidement le sourire ensuite pour une fin de concert qui sera composée de "Why don't you", "I hate this Town"  et de "Glacier" avec sa ligne finale de piano étonnante.

 

 

En rappel nous aurons droit au très beau "Queen of Denmark" dont les envolées de synthé très 70's rappelent parfois celles du Rick Wakeman de Yes, avant un dernier titre au piano "Caramel" en guise d'au revoir et prétexte à un joli solo de Moog.

Un beau concert, sans fioritures par un artiste atypique qui est loin d'avoir dit son dernier mot.

 

 

Texte et photos : JPROCK.

 

 

 

 

 

 


 

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28 avril 2013 7 28 /04 /avril /2013 15:27

 

 

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Le billet de JPROCK :

 

Eros Ramazzotti n'a plus rien à prouver. Depuis 1981, l'homme draîne des hordes d'aficionados fidèles et a vendu plus de 55 millions d'albums à travers le monde. Un succès colossal qui s'explique facilement lorsqu'on va voir l'artiste en concert. Eros est généreux et sur scène, il impressionne.

 

Ce soir c'est la toute grosse foule à Forest et la salle affiche sold out pour les deux concerts d'aujour'dhui et demain.

Quelques minutes avant le début du show la foule compacte hurle les habituels Eros, Eros, puis lorque les lumières s'éteignent les hurlement redoublent émanants principalement de la gent féminine présente en nombre.

 

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Eros Ramazzotti apparait seul en scène, guitare en bandoulière et se lance dans un solo de guitare éblouissant tandis que les écrans géants se lèvent et dévoilent son band.

Ce que beaucoup ignorent encore c'est qu' Eros est un excellent guitariste capable de rivaliser avec les plus grands, et son jeu rapide et inventif souvent inspiré fait merveille lors de ses shows.

Et de guitare il en sera souvent question lors de ce " Noi World Tour 2013 ".

 

Vêtu d'un t shirt noir sur lequel sont imprimés son logo, un écusson avec le drapeau belge ainsi que dans son dos BRUSSELS en gros caractères majuscules, l'italien va deux heures durant livrer un show pop-rock remarquable et intense devant une foule toute acquise à sa cause. Sa voix légèrement nasillarde ( on aime ou pas, c'est selon) puissante et bluesy se mèle avec bonheur aux orchestrations parfaites d'un band magistral.

Car Eros sait bien s'entourer.

 

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De "Ancora Vita", "Sotto lo stesso cielo"," Noi", et "Polaroid" (ces trois derniers titres étant issus de son dernier album) à "Fueco nel fueco", "Un angelo disteso al sole" et "Piu bella cosa" qui clotureront le rappel, le chanteur romain très à l'aise sur scène va enchanter son public et nous livrer quelques interprétations très rock et agrémentées de parties de guitares étonnantes de ses principaux titres. Parmi ceux ci notons une version flamboyante de " l'Aurora ", l'inévitable " Se Bastasse una canzone ",  et " Dove ce musica " prétexte à un joli duel de guitares avec le bluesman surdoué Kirk Fletcher.

 

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Lorsque la structure de la scène sur laquelle reposent les écrans lumineux se replie sur elle mème comme une gigantesque boîte à musique, on se dit qu'une fois de plus le romain n'a pas déçu.

Mieux mème, il nous a convaincu d'etre au rendez vous à sa prochaine visite.

 

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http://sphotos-h.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-prn1/529634_502050766475637_34082248_n.jpgTexte et photos : JPROCK.

 

 

 

 

 

 

Setlist :

Ancora vita 

Sotto lo stesso cielo 

Noi 

Polaroid 

Stella Gemella 

Questa nostra stagione 

Terra Promessa 

Una storia importante / Adesso tu 

Più che puoi 

Emozione dopo emozione / Un cuore con le ali / Cuori agitati / Ti sposerò perchè / Un grosso no 

L'aurora 

Infinitamente 

Se Bastasse Una Canzone 

Favola 

Dove c'è musica 

Un attimo di pace 

Cose della vita 

Io sono te 

Musica è 

Encore:

Un'altra te 

Fuoco Nel Fuoco 

Un angelo disteso al sole 

Più bella cosa 

 

 
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19 avril 2013 5 19 /04 /avril /2013 18:24

 

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L'avis de Mitch "Zoso" Duterck :

 

C’est à une soirée entièrement consacrée à « Genesis Revisited II » que Steve Hackett nous conviait hier soir dans la fournaise de l’Ancienne Belgique. 

L’endroit affichait sold out, c’est dire si les fans attendait l’évènement qui était d’importance. 

En effet, Steve Hackett ex-guitariste ô combien talentueux revisitait son back catalogue comprenant la période bénie (celle de Peter Gabriel) allant de 1971 à 1976.

Et en fait de programme souvenir, ce n’est ni plus ni moins qu’un « Best of Genesis » que l’homme entouré d’un band super efficace a joué pendant près de deux heures pour le plus grand plaisir de nos oreilles avides des hymnes de la Genèse, qui plus est, interprétés par un membre original.

 

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C’est parti avec « Watcher of the Skies » la plage qui ouvre le célèbre « Foxtrot » de 1972. 

Il n’y a pas photo, pour être sur scène ce soir là, il faut avoir des références en matière d’instrumentiste. 

La mention « Parfait » est le minimum syndical requis pour s’aligner aux côtés des autres musiciens qui non contents d’être multi-intrumentistes, se doivent également de savoir chanter. 

La scène est baignée d’un splendide jeu de lumières qui ajoute encore à la puissance émotionnelle des morceaux tandis que des projections d’images agrémentent ça et là des passages bien précis et de fort belle manière ce qui ne gâche rien à notre plaisir collectif. Car c’est bien de celà qu’il s’agit, de plaisir partagé par toute une communauté qui s’est donné rendez-vous pour célébrer les flamboiements sonores d’une musique qui est loin d’être défunte et qui à l’époque n’était pas encore baptisée-abrégée « Prog » mais bien « Eurock » pour ceux qui s’en souviennent.

 

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Bref, ça déroule formidablement bien en passant par « La Chambre aux 32 portes » avant d’aller faire quelques pas avec la « Reine de Maybe », cette éternelle pleureuse qui nous conte l’histoire du « Moonlit Knight ». 

Bravo a Nad Sylvan, le chanteur, car il ne cherche pas à se mettre dans la peau de Peter Gabriel, il lui rend hommage par son timbre de voix similaire.

Steve Hackett est non seulement un guitariste génial mais aussi un hôte charmant car jamais il ne se départit de son sourire « Made in England » mais de plus, il nous fait l’honneur de nous présenter les chansons en français. Chose remarquable ce soir, il n’y aura aucun coup de sifflet communautaire à se manifester comme c’est généralement le cas à Bruxelles lorsqu’un artiste, étranger de surcroît, « ose » s’exprimer en français. 

Ca fait plaisir d’être assis (oui je me fais vieux) parmi des gens civilisés.

 

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Un petit problème technique  vient perturber le bon déroulement de la soirée. Les claviers ne semblent pas pouvoir donner leur pleine mesure ce qui vaut à Steve l’honneur de nous l’expliquer (en français dans le texte, idem au micro). 

Il va donc y avoir un petit break qui va permettre aux techniciens appropriés de réparer (en anglais « to fix ») les branchements réfractaires. Malheureusement, cet intermède nous privera de « I Know What I Like » qui passera à la trappe pour que les ordonnances de police stipulant que les concerts doivent impérativement être terminés à 22.30 soient respectées. 

A peine dix petites minutes « d’Intermission » et c’est reparti : « In that Quiet Earth » et « Afterglow » nous rappellent que « Wind & Wuthering » est certainement le dernier des grands albums de Genesis avant qu’un certain Charles Phillip Collins (de son nom complet pour ceux qui voudraient le dénoncer) n’en fasse le potage insipide pour ménagère spécialisée en sauce pop-rock qu’on connaît.

Nous aurons droit à une merveilleuse version de « Entangled » avant d’attaquer les pièces de résistance que sont les complexes « The Musical Box » et « Supper’s Ready ». 

 

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Aucun de ces deux monuments n’a pris la poussière et si un jour on les retrouve dans la vitrine d’une musée ce sera uniquement pour témoigner à quel point ce Genesis là était génial. C’est tout bonnement "époustouflant" pour utiliser un qualificatif d’un de mes amis animateurs de radio.

Je ne me souvenais pas avoir entendu un triomphe pareil à l’AB, tout le monde est debout, du moins ceux qui n’ont pas les jambes coupées par tant de maestria sans que l’ensemble ne verse dans la démonstration complaisante propre à certaines élites musicales qui se reconnaîtront.

Le rappel a pour nom « Los Endos » : magistral, revu et corrigé avec un solo de sax et de guitare à l’unisson de toute beauté et d’une précision chirurgicale. 

J’en voit dejà qui sourient, eh bien ravalez vos remarques car c’était bien un sax dont jouait à merveille Rob Townsend. 

Des sax droits ça existe messieurs « je sais tout » !

 

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Merci Mister Steve Hackett, oui merci de ces moments jouissifs pendant lesquels on oublie que dehors il y a des gens qui n’ont pas la chance d’assister à un concert et que la seule musique qu’ils entendent est celle de leurs estomacs qui crient famine dans l’indifférence des rires des passants…qui passent et jamais ne s’arrêtent quand « The Lamb Lies Down On Broadway »

 

Texte :Mitch « ZoSo » Duterck

Photos : JPROCK

 


 


 


 


 

 

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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 15:04

 


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Le billet de JPROCK :

 

Avec un premier album Cameleon Boat sorti dans les bacs en 2011 , Mathilde Renault s'est petit à petit fait un nom.

Issue d'une famille de musiciens, son père Jean Christophe est pianiste et sa mère Veronique Gillet est guitariste, Mathilde est comme on peut dire tombée dans la marmite quant elle était petite.

Proche de l'univers d'une Tori amos, d'une Regina Spektor ou pour les plus anciens d'une Kate Bush, Mathilde possède une voix étonnante, superbe dans les graves et cristaline dans les aigus.

 

Ce soir c'est à un petit concert intimiste qu'elle nous convie dans le cadre sympathique du Centre Culturel "La Villa" à Ganshoren. C'est l'occasion pour moi de revoir en solo ce petit bout de femme dont la sensibilité à fleur de peau transpire de ses chansons.

Mathilde est auteur-compositeur-interprète et ce soir elle n'a pas préparé de setlit, seul un petit papier sur lequel sont griffonnés les titres de ses chansons trône discrètement sur son piano électrique.

La jeune pianiste enchaîne les titres à l'instinct suivant l'inspiration du moment et le feeling avec le public, et c'est peut etre là le seul point faible du concert où l' on assiste parfois à quelques moments de flottement et à une réelle cassure lorsque Mathilde s'interrompt contrainte de devoir faire une pause alors qu'elle sent le public happé par son univers.

 

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C'est donc après un mini entracte d'environ quinze minutes que la jeune femme reprend son voyage musical là où elle l'avait laissé, mais il lui faudra deux à trois titres pour retendre ce lien privilégié avec son public.

Alternant les titres connus de son 1er album comme "Cameleon Boat", " So shy ", " Wings " qui parle de cette bulle dans lequel on se trouve plongé lorsqu'on est amoureux, le très beau "The Muse & the Mouse", "Here's a little girl" écrite à Stockholm, " Toy Music ", l'aérien " Painted Words " et d'autres chansons nouvelles comme "Bad Luck", écrite pour chasser la poisse, et le formidable " Single Game " une des meilleures compositions de l'artiste à ce jour.

 

En rappel Mathilde reprend deux covers à la demande du public : "Skinny Love" de Birdy et "Message in a Bottle " de Police.

Un très joli concert en toute simplicité mais parfois un peu décousu, pendant lequel sur certains titres j'ai pu déplorer l'absence du cello magique de sa fidèle complice Annemie Osborne.

 

A la rentrée Mathilde prévoit de refaire le Botanique avec ses musiciens et annonce l'arrivée prochaine d'un nouvel album.

En attendant cette actualité future n'hésitez pas à aller voir la jeune femme en concert, vous aurez toujours avec elle la garantie de passer un excellent moment.

 

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http://sphotos-h.ak.fbcdn.net/hphotos-ak-prn1/529634_502050766475637_34082248_n.jpgTexte et photos: JPROCK

 

 

 

 

 

 

 
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18 avril 2013 4 18 /04 /avril /2013 02:30

 

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Le billet de JPROCK :

 

En mai 2012 ils avaient mis le feu dans la grand salle de l'AB en première partie de Band of Skulls.

Onze mois plus tard The Sheepdogs sont de retour en tête d'affiche dans une Rotonde du Botanique qui affiche complet.

Originaires de Saskatoon, Ewan Currie ( vocals-guitar), Leot Hanson (lead guitar), Ryan Gullen (bass) et Sam Corbett (drums) propose une musique qui lorgne du coté du Allman Brothers band avec une touche de Lynyrd Skynyrd et un zeste de Wishbone Ash pour les twins guitars qui jouent très souvent à la tierce.

En 2012 le band canadien signe sur Atlantic records et voit un premier album éponyme ( qui est en fait le 4e, les autres ayant été distribués via un label canadien) distribué à grande échelle chez nous.

Bardé de récompenses avec notamment trois Juno awards dont Rock album of the year , Best new group et single of the year pour "Who ?", le band s'attaque maintenant à l'Europe.

 

Mais avant de pouvoir à nouveau revoir les excellents Chiens de Berger,nous avons droit à un support act assuré par Madé J.

Lorgnant du coté de la scène garage rock, influencé par The Sonics, Reverent Horton Heat ou les débuts du punk, ce musicien d'origine balinaise sorte de globe-trotter passé par les USA, Hawaii, l'Australie et Bali , pioche dans ses voyages pour alimenter son style. Résident actuellement en Belgique l 'homme qui a jammé avec Keziah Jones, écume les scènes et promotionne son nouvel album  intitulé Das Rumble.

Ce soir Madé J livre un set hautement énergique et jubilatoire qui ne tarde pas à convaincre la majorité du public présent. En fin de gig il jettera quelques exemplaires de son cd dans la foule pour le plus grand bonheur des spectateurs des premiers rangs.

Un set brûlant de quarante minutes qui nous encourage à aller revoir cet artiste au BSF en aout prochain.

 

Mais voici que montent sur scène The Sheepdogs.

Immédiatement le groupe nous amène dans son univers rock-blues avec un instrumental super efficace.

 

"Hello friends, we are the Sheepdogs !" lance Ewan Currie.

 

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Et le band enchaine avec "Gonna be myself" suivi de "I need help" et "Southern dreaming".

Vocalement les harmonies sont très réussies et au niveau cohésion musicale le band est parfaitement au point. Ca transpire le rock et le blues par tous les pores et les guitares s'entremèlent avec un réel bonheur.

La section rythmique est elle aussi époustouflante et Ryan Gullen, le bassiste, nous rappelle dans sa gestuelle et son jeu le Glenn Hugues de la grande époque du Purple.

 

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En live, le band est renforcé par un claviériste qui apporte de l'ampleur à sa musique et qui se fendra mème d'un solo de trombone ( !).

Avec des titres comme entre autres "The one you belong to", "Who?", "Javelina ! ", "Learn & Burn", le génial "I don't know" et "How late How long", le groupe met une nouvelle fois le feu à la Rotonde et on ne peut qu'apprécier le talent de ces musicos qui redonnent un joli coup de fouet à un style inspiré du rock made in 70's. Carton plein pour les canadiens qui sortent de scène sous une belle ovation.

 

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Bref si vous les avez raté cette fois ci et que vous ètes fan de classic rock ou de southern rock vous n'avez aucune excuse de les manquer une nouvelle fois lorsqu'ils repointeront leur bout du nez chez nous.

Ce band est une machine de guerre, vous voilà prévenus !

 

Texte et photos: JPROCK.

 


 

 

 


 

 

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16 avril 2013 2 16 /04 /avril /2013 00:32

 

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L'avis de Mitch " Zoso " Duterck :

 

Le Spirit of '66 affichait "Sold Out" pour la venue du légendaire Cactus formé en 1970, ceux que l'on appelait le Led Zeppelin américain. 

Deux des membres originaux font encore partie du groupe et non des moindres car il s'agit du célèbre batteur Carmine Appice (Vanilla Fude, Cactus, King Cobra, Blue Murder, Beck Bogert Appice, Derringer, etc) et du guitariste Jim McCarthy (Rockets, Mitch Ryder, Detroit Wheels). Ils se sont adjoint les services de Pete Bremy qui remplace le bassiste Tim Bogert malade et de Jimmy Kunes au chant et à l'harmonica.

 

D'entrée de jeu, le ton est donné avec le classique "Long Tall Sally" suivi directement de "Swim". On prend la claque tout de suite, pas besoin d'attendre! Pan! Nous voilà directement catapultés dans ces fameuses années 70 tellement riches au niveau de la création et de la qualité des groupes. La Gibson Les Paul Custom noire de Jim McCarthy à ce son gras, tellement typique  avec un sustain incroyable et unique. C'est épais, ça dégouline des amplis et des murs, la salle est surchauffée et le public conquis. Ca sent le blues et le rock à mort.

 

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Cactus couvre surtout les deux premiers albums de 1970 et 1971 avec notamment un superbe "Can't Judge A Book By The Cover". Jimmy Kunes me fait penser à Paul Rodgers non seulement de par son attitude scénique mais aussi par son interprétation et son grain de voix. Il me confiera d'ailleurs être un fan absolu du célèbre chanteur de Free, celui qu'on appelait déjà "The Voice" bien avant que le concept n'ait germé sur nos écrans.

 

Pete Bremy est un bassiste hors-pair, pas le genre a rester les doigts scotchés sur les toniques, il phrase continuellement sur sa basse à 6 cordes ! Instrument pour lequel Tim Bogert lui a donné quelques trucs de vieux routier me dira-t-il, notamment au niveau de l'accordage.

 

L'autre l’album qui a la part belle ce soir, c'est le "Cactus 5" de 2006, un solide album passé inaperçu sauf aux yeux des fans et du public averti. Nous aurons droit à 6 titres dont le fabuleux "Electric Blue" ou encore un "Evil" d'enfer juste avant le solo de batterie.

 

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Car la cerise sur le gâteau ce soir c'est le solo de Carmine Appice qui nous montre toute l'étendue de son talent et de sa dextérité, prouvant par là même que sa réputation de grand batteur n'est nullement usurpée. 

En plus, l'homme à de l'humour qui le conduira à quitter ses fûts pour rejoindre seul le devant de la scène d'où il nous gratifiera d'un solo de baguettes qui tient autant de la leçon de rythme que de la jonglerie. 

Ceux qui étaient présents hier savent de quoi je parle.

La fin de concert nous offrira le rappel attendu avec "Rock 'N' Roll Children" électrique à souhait. 

Cactus pense  le concert  fini, mais le public ne l'entend pas de la sorte et le groupe ne peut faire autrement que de nous offrir en second rappel une version bluesy à souhait de "Game".

 

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Voilà qui termine cette fantastique soirée d'1h50 qui nous à pourtant paru tellement courte. 

Si vous ne connaissez pas encore ce groupe légendaire, sachez qu'ils seront de retour pour une tournée d'été, alors ne les ratez pas, vous n'avez plus aucune excuse maintenant. 

Bon, là-dessus, un petit coup de "Parchment Farm" me fera le plus grand bien, à moins qu'un "Big Mama Boogie"...

 

Texte et photos : Mitch " Zoso " Duterck.

 

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Line up : 

Jim McCarthy : Guitar

Carmine Appice : Drums & Backing Vocals

Jimmy Kunes : Vocals & Harmonica

Pete Bremy : Bass & Backing Vocals

 

Setlist :

01. Long Tall Sally. * (One Way...Or Another - 1971)

02. Swim. * (Hot 'N' Sweaty - 1972)

03. One Way...Or Another. * (One Way...Or Another - 1971)

04. Bro Bill. * (Cactus - 1970)

05. Can't Judge A Book By The Cover. * (Cactus - 1970)

06. Electric Blue. (Cactus V - 2006)

07. Muscle & Soul. (Cactus V - 2006)

08. Electric Blue. (Cactus V - 2006)

09. The Groover. (Cactus V - 2006)

10. Evil. (Restrictions - 1971)

11. Carmine Appice Drum Solo.

12. Big Mama Boogie. (One Way...Or Another - 1971)

13. Parchment Farm. (Cactus - 1970)

14. Rock'n'Roll Children. (One Way...Or Another - 1971)

15. Game. (Cactus V - 2006)

 


 


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