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18 juillet 2012 3 18 /07 /juillet /2012 01:10

 

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L'avis de Mitch " Zoso" Duterck : 

 

 Dans le cadre des fêtes de la communauté Flamande, il y avait des tas de concerts gratuits ce mercredi à Bruxelles.

Après avoir consulté le programme complet, mon choix s’est porté sur les Gantois de HORSES ON FIRE.

Le « Bonefooi » est un café concert situé rue des Pierres, N° 8 ou, dans le cas présent, Steenstraat Nr. 8 juste à côté de l’AB. Rassurez-vous, c’est le même endroit dans les deux cas ;-) Ce qui surprend d’entrée c’est que le groupe se produit dans un endroit aussi exigu, surtout après les avoir vus sur de belles scènes telles que l’AB. Ils jouent dos à la grande vitre qui donne sur la terrasse complètement vide à cause des conditions climatiques peu favorables. On ne s’attend pas à voir un groupe d’une telle qualité dans un tel endroit à 14.00. Mais les Horses en ont vu d’autres, Michélé m’a raconté leur voyage récent en Frise avec 6heures de voiture auxquelles s’ajoutent le temps passé en bateau pour finir aussi dans un endroit du style café-concert. On peut donc en déduire que ces gens là sont de vrais musiciens, amoureux de leur art et pas des chasseurs de fric.

Il est 14.00 et Le concert débute devant à peine 10 personnes, personnel du café compris. Je ne comprends pas, le Bonefooi devrait être plein à craquer.

Michélé armé de sa nouvelle Gibson L 325 entre tout de suite dans la peau du rocker qui lui va si bien. Il me fait penser à James Dean avec une guitare. On attaque d’entrée avec un de mes morceaux préférés : l’impressionnant « Violent Highs » aux accents très seventies à la Led Zeppelin suivi de « Machete Machine ». Et le groupe est tout de suite en action, « firing on all four » comme in dit en anglais. Ils n’ont pas besoin de plusieurs titres pour être à 100%. Le bassiste titulaire Anthony Statius est aux Etats-Unis et c’est Philippe De Vuyst qui le remplace de fort belle manière. Quelques points de repère écrits sur des feuilles blanches qu’il dépose à proximité au cas où il oublierait sa ligne de basse. Il n’aura pas besoin de son aide-mémoire car le sympathique Philippe a du métier et ça bétonne dur aux côtés d’Alessandro qui frappe ses fûts comme si sa vie en dépendait. Attention, il sait jouer de son instrument, n’allez pas croire que c’est juste un forgeron de la grosse caisse, Alessandro c’est un vrai batteur de rock. Il me confiait que le prochain album allait être plus varié que le premier déjà excellent, courez l’acheter je vous le recommande. « Raw Meat » « Glassmate Giants » et son intro à la Beastie Boys nous amènent vers le sublime « Wolfman In Disguise » sur lequel Michélé se transforme en « grand séducteur ». Le tempo sent les bars enfumés d’une grande métropole vers 4 heures du matin, ça sent le whisky, les parties de cartes et les dames de la nuit.. Il y a de très belles interventions de Thijs De Cloedt à la guitare et une fin a capela de toute beauté. Assurément un des touts grands titres de l’album. Vient ensuite « I Miss To Hate You » et son tempo très particulier, un peu punky, presque obsédant car une fois qu’on l’à en tête, çà tourne en boucle et ça ne s’arrête jamais. « Your Blood » lâche toute la puissance des riffs de Horses on Fire, j’adore ! « Draw The Line » autre single du groupe se présente devant un public qui a fini par arriver à la moitié du concert et qui applaudit un groupe qui le mérite amplement.

« Season To Hate » déboule de la sono comme un taureau enragé et reçoit une ovation générale bien méritée par les Horses On Fire qui ont joué leur concert comme si ils avaient été devant 1.000 personnes.

Bravo les gars, continuez à nous donner du plaisir et à être aussi sympas et disponibles.

Pour ceux qui vont à Gand, Horses on Fire sera en concert aux Gentse Feesten sans oublier qu’ils feront la 1ére partie de Status Quo à Deinze le 2 octobre prochain ! Quand je vous le disait qu’ils étaient bons !

 

Mitch « ZoSo » Duterck  

 

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16 juillet 2012 1 16 /07 /juillet /2012 22:48

Jon Lord, ex-claviériste de Deep Purple est mort ce matin dans une clinique londonienne des suites d'un cancer du pancréas et d'une ambolie pulmonaire.Il avait 71 ans. Jon avait annoncé sa lutte contre la maladie en aout 2011.

 

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Né le 9 juin 1941 il remporta un 1er prix au conservatoire de Londres avant de devenir le claviériste co-fondateur de Deep Purple de 1968 à 2002.

En 2002 il quitte Deep purple  remplacé par Don Airey afin de poursuivre des projets plus personnels..

Le son de son hammond et son jeu tres personnel inspiré par le classique, le blues et le jazz va influencer plusieurs générations de claviéristes et marquer le son de Deep Purple qui permettra au band de s'imposer comme les pionniers du son progressiv - heavy rock.

Leur immense hit "Smoke on the Water" deviendra l'hymne de toute une génération d'amateurs de hard rock. Jon Lord fut aussi le compositeur du "Concerto for group & orchestra" que le groupe interpréta avec le Philarmonic Orchestra au Royal Albert Hall en 1969.

Il fut également l'auteur de plusieurs albums solo et participa au groupe de David Coverdale, Whitesnake.

C'est aussi Jon Lord qui jouait du piano sur "You really got me", le hit célèbre des Kinks.

  

Jon Lord s'est éteint ce lundi 16 juillet 2012 , entouré de sa famile.

  

Paix à son âme.

  

Et ce soir je suis bien triste... 

 

JPROCK

 


 

 

 

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4 juillet 2012 3 04 /07 /juillet /2012 14:48
 
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Line-up : Tom Petty : guitars and vocals Mike Campbell : guitars, mandolin Ron Blair : bass and vocals Steve Ferrone : drums Scott Thurston : guitars, harmonica, lap... steel guitar, ukelele, backing and lead vocals Benmont Tench : piano, keyboards and backing vocals.
 
 
 
 
Après pas mal de tours et détours, nous nous parquons enfin dans la rue d’Aboukir, une petite rue annexe au 1, Boulevard Poissonnière – 75002 Paris, adresse du jour pour une superbe salle de 2750 places : le Grand Rex. L’emplacement que nous occupons est marqué « Livraisons » mais à cette heure là, les magasins ont déjà baissé leurs rideaux métalliques sur une marchandise d’un autre temps. Soyons fous et prenons des risques. Trois minutes de marche plus tard, nous voici enfin tous les trois dans la file d’attente et on est plutôt bien placés.
De toutes façons, les places sont numérotées donc rien ne sert de s’exciter pour atteindre la place numérotée « 50 » au 1er balcon, elle m’attend ! Dès l’entrée on ne peut que constater qu’il s’agit d’une superbe salle. Construite en 1932 elle est la seule survivante de son époque encore en activité. La plupart du temps, c’est un cinéma. Un regard circulaire amis non furtif met fait dire qu’à l’époque, on savait encore construire. Pour un peu on se croirait revenu à cette époque de l’entre deux guerres. Dépaysement garanti.
 
Tout comme à Cologne, c’est Jonathan Wilson qui ouvre pour Tom Petty et reçoit un accueil chaleureux du public. En Live c’est beaucoup plus captivant que en cd et ça fleure toujours bon Neil Young et l’ Allman Brothers Band comme influences notables. A revoir, sans aucun doute.
 
Il est 21h25 quand les lumières s’éteignent sur une foule qui exulte, libérant sa frustration de ne pas avoir eu la chance de voir Tom Petty et ses Heartbreakers depuis 20 ans, comme nous.
Pas de discrimination musicale pour une fois. D’entrée, c’est très chaud comme réception et l’ambiance est à son comble, donc, ça c’est déjà gagné mais Tom va-t-il être à la hauteur de cet accueil triomphal ? La réponse vient des les premières notes de « Listen To Her Heart » : OUI, 1000 fois oui ! Le groupe est rôdé et à le sens inné de la scène, tout comme à Cologne deux jours auparavant, c’est direct et ça vise juste : Pan, en plein cœur. Je ressent cette jubilation intérieure qui fait oublie rle manque de sommeil et les kilomètres avalés en 2 jours. Yes, He’s back ! On poursuit avec « You Wreck Me » et « I Won’t Back Down » extraits de “Wild Flowers” (1994) et de “Full Moon Fever” (1989).
Au niveau de la setlist, il n’y aura pas de changements sinon un tout petit dans le sens ou il n’y aura pas le « I’m A Man » en hommage à Bo Didley en rappel. On est toujours à la cote maximale pour la qualité de la prestation, c’est du top vraiment. Tom Petty aura même quelques mots en français pour remercier le public et il nous promet de ne plus nous oublier pendant 20 ans cette fois. T’as intérêt « Petit » !
Les moments forts sont encore à mon humble avis « It’s Good To Be King » de « Wildflowers et le plus que Zeppelinien « I Should Have Known It » extrazit de « Mojo » (2010). « Refugee » aura lui aussi ses minutes de gloire auprès d’un public interpellé par tant de beauté et de perfection musicale. Deux heures ça passe vite, même quand on attend depuis 20 ans et à 23h25 la messe est dite, les lumières se rallument sur une salle où tout le monde a participé à une standing ovation bien méritée. Il nous reste à reprendre la route et il est près de 3h25 du mat’ (j’ai des frissons) quand nous réintégrons nos chaumières.
Ce sera difficile de trouver le sommeil car j’ai encore la tête remplie d’images et de sonorités de ces deux fabuleux concerts. Allez, Tom, encore mille fois merci pour ce plaisir intense. Tiens tes promesse car si tu attends encore 20 ans et compte tenu de la moyenne d’âge du public, je ne suis pas certains que nous serons encore autant à aller te voir.
Au pire, on fera une jam tout là-haut, je m’y prépare « I’m Learning To Fly ».
 
Setlist : 01. Listen To Her Heart. (You're Gonna Get It - 1978) 02. You Wreck Me. (Wild Flowers - 1994) 03. I Won't Back Down. (Full Moon Fever - 1989) 04. Here Comes My Girl. (Damn The Torpedoes - 1979) 05. Handle With Care. (Traveling Wilburys cover) 06. Good Enough. (Mojo - 2010) 07. Oh Well. (Fleetwood Mac cover) 08. Something Big. (Hard Promises - 1981) 09. Don't Come Around Here No More (Southern Accents - 1985) 10. Free Fallin'. (Full Moon Fever - 1989) 11. It's Good To Be King. (Wild Flowers - 1994) 12. Oh Carol. (Chuck Berry cover) 13. Learning To Fly (Into The Great Wide Open - 1991) 14. Yer So Bad. (Full Moon Fever - 1989) 15. I Should Have Known It. (Mojo - 2010) 16. Refugee. (Damn The Torpedoes - 1979) 17. Running Down A Dream. (Full Moon Fever - 1989) Encores : 18. Mary Jane's Last Dance. (Greatest Hits - 1993) 19. American Girl. (Tom Petty And The Heartbreakers - 1976)
 
Chronique et photos : Mitch « ZoSo » Duterck
 
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28 juin 2012 4 28 /06 /juin /2012 11:26

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Le billet de JPROCK:

 

 

Deux concerts archi sold out ce soir et hier à l'AB pour Alan Reed mieux connu sous le nom de Lou Reed.

"A la demande de l'artiste, pas de bouteilles ni de gobelets à l'intérieur de la salle svp."

Lou Reed aurait il peur de se ramasser  une canette sur la tronche apres le semi échec  de son dernier album "Songs for Lulu" qui en a déçu plus d'un ? En tout cas les instructions ont été affichées aux quatre coins de la salle. D'autre part, les rumeurs d'un concert catstrophique donné hier soir ici  mème ne laissent rien présager de bon pour le concert de ce soir. Réponse dans moins d'une heure.

 

Pour l'instant c'est Joan as a Policewoman qui est chargée d'assurer le support- act du maître.

Seule au piano ou à la guitare électrique, la demoiselle installe une ambiance plutôt morose devant un public déjà refroidi par la pluie battante qui tombe sur la capitale depuis déjà plus d'une heure.Il faut dire que Joan en solo c'est évidemment moins percutant qu'avec son band au grand complet, mais sa jolie voix permet a chacun de se préparer dans le calme et l'apaisement à l'arrivée imminent de l'ex leader du Velvet Underground.

 

Lorsque Lou Reed, démarche hésitante ( un roadie l'aide à enfiler sa guitare) monte sur scène on se dit que le septuagénaire n'a certainement plus une santé de jeune homme. Placé droit comme un "i" au beau milieu de la scène il ne bougera pas d'un poil pendant les 120 minutes de sa prestation.

Il est bien loin le temps de Rock n' Roll animal et de Lou Reed Live où les riffs incendiaires de Steve Hunter et Dick Wagner mettaient le feu aux chansons du Lou, aujourd'hui on va vers des orchestrations plutôt proches de l'univers de John Zorn avec qui le couple Reed-Anderson ont collaboré dans le passé.

Entouré d'un  band emmené par deux membres du Metal Machine Trio, le génial saxophoniste Ulrich Krieger et le clavieriste -loops et autres bidouilleries- Sarth Calhoum, Lou Reed revisite son répertoire de manière surprenante mais convainquante. Mentions spéciales à  des titres comme "Sad Song", magnifié par les vocaux de Joan as a Policewoman en choriste de luxe et à  "Waiting for my man" et "Walk on the wild side" dont les riffs insidieux nous envoûtent toujours autant. Les compos du dernier album avec Metallica se montrent moins convainquantes hormis peut etre "Junior Dad", mais la setlist en forme de best of a de quoi ravir le public nombreux et enthousiaste venu ce soir garnir la salle bruxelloise.

En fin de set Lou Reed remerciera son public en ajoutant qu'il était tres heureux de jouer pour lui ce soir. Ca ne se voit pas vraiment sur son visage, personnage oblige, mais s'il le dit on ne peut que le croire. En résumé, un tres bon concert donné cesamedi par un artiste culte qui au crépuscule de sa carrière parvient encore à surprendre et à créer de bien belle manière lorsqu'il part à la rencontre de son public.

La classe.

 

Setlist :

  1. Brandenburg Gate (Lou Reed & Metallica cover)

  2. Heroin (The Velvet Underground song)

  3. I'm Waiting for the Man (The Velvet Underground song)

  4. Senselessly Cruel  

  5. The View (Lou Reed & Metallica cover)

  6. Mistress Dread (Lou Reed & Metallica cover)

  7. Street Hassle  

  8. Cremation - Ashes to Ashes  

  9. Think It Over  

  10. Walk on the Wild Side  

  11. Sad Song  

  12. Junior Dad (Lou Reed & Metallica cover)

  13. Encore:
  14. Beginning to See the Light (The Velvet Underground song)

  15. Sweet Jane (The Velvet Underground song)

PHOTOS PAR JPROCK ici :link

 


 

 

 

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22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 00:40
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Le billet de JPROCK :

 

Comme  hier au Cirque Royal pour le concert des Afghan Whigs c'est également un DJ qui s'occupe ce soir de faire patienter le public en attendant l'arrivée sur scène du Modfather prévue vers 20h10.

La salle est bien remplie, le site de l'Ancienne Belgique annonçait déjà depuis quelques jours la mise en vente des derniers tickets.

Plus ponctuel que ça tu meurs ! A 20h10 précises, Paul Weller et son band montent sur scène.

Drums, percus, claviers, basse et deux guitares dont celle de Paul himself, le groupe a fière allure et enchaine les titres sans aucun temps mort avec une belle énergie. A croire que le natif du Surrey a un train à prendre !

Tiré à quatre épingles, en complet veston, l'homme se pose en patron pour qui les planches n'ont plus aucun secret. Passant avec la mème aisance de la guitare aux claviers, le britannique alterne aussi les "climats".

Peu bavard, il donne l'impression de nous livrer ses compos comme on exècute un boulot bien fait sans réellement rechercher le contact avec le public.

Pilotage automatique Mister Weller ? Difficile à dire sur le moment, mème si la suite du concert nous prouvera le contraire. En tout cas, musicalement il n'y a rien à redire, c'est nickel. Du bon rock bien carré qui sent bon the Jam et les Who, la mod attitude quoi !

Pas le temps de souffler, le dernier titre de la première partie ( hé oui, il nous fait un entracte !) à peine terminé le voilà qui disparait backstage apres avoir lancé un laconique "See you in ten minutes !"

Heu...ah bon, ben ..ok... il nous a joué l'intégralité de Sonic Kicks , son dernier album et il fait un court break.

Et en effet dix minutes plus tard retour de Paul qui a tombé la veste et qui en tshirt s'installe en bord de scène pour un set acoustique à quatre guitares, basse et  percus sur fond d'harmonies vocales à faire pâlir Crosby, Stills & Nash. Magnifique moment ponctué par un "All on a misty morning" absolument magique.

Retour aux guitares électriques ét à l'énergie ensuite avec "Moonshine" et cette fois le citoyen britannique ne va plus lacher le public jusqu'à la fin du set. Direction le piano pour piocher dans les 90's avec une sulfureuse version de "Stony Road". Woaw là ça cogne dur et juste ! Fini l'apparent détachement affiché pendant la première partie, Paul prend du bon temps , se donne à fond et nous offre une fin de show en forme de best of.

Il se fendra mème d'un ' Merci beaucoup ! , en français dans le texte. La suite fut énergique en diable et jubilatoire et c'est au terme de deux rappels et au son d'un standard des jam  "Start" que Paul prend congé de son fidèle public. 

Un concert de pro !

 

SETLIST:

  • Green  

  • The Attic  

  • Kling I Klang  

  • Sleep of the Serene  

  • By the Waters  

  • That Dangerous Age  

  • Study in Blue  

  • Dragonfly  

  • When Your Garden's Overgrown  

  • Around The Lake  

  • Twilight  

  • Paperchase  

  • Be Happy Children  

  • Acoustic :
  • Out Of The Sinking  

  • No Tears To Cry  

  • All I Wanna Do (Is Be With You)  

  • All On A Misty Morning  

  • Electric :
  • Moonshine  

  • From The Floorboards Up  

  • 22 Dreams  

  • Stanley Road  

  • Foot of the Mountain  

  • Wake Up The Nation  

  • Fast Car/Slow Traffic  

  • Echoes Round The Sun  

  • Whirlpool's End  

  • Encore:
  • Broken Stones  

  • Art School (The Jam song)

  • In the City (The Jam song)

  • Pieces Of A Dream  

  • Encore 2:  
  • Start (The Jam song)

 

Photos par JPROCK ici :link

 

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16 juin 2012 6 16 /06 /juin /2012 14:04

 

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Le billet de JPROCK :

 

Apres avoir vu un concert d'anthologie des  Afghan Whigs à la Luna dans les nineties il me fallait revoir le band de Greg Dulli en action lors de cette nouvelle tournée européenne 2012.

Le concert fut sold out en moins de temps qu'il fallait pour le dire, et pas mal de gens déambulent devant le Cirque à la recherche d'un précieux sésame au marché noir.

Pasde 1ere partie prévue ce soir, mais un dj qui va nous chauffer les oreilles jusqu'à 21h avec des standards de la soul.

Lorsque les héros de la soirée montent sur scène le Cirque Royal est littéralement bondé.

  Aucune présence visible d'un quelconque service de sécurité et des spectateurs qui, à l'étage, cherchent désespérément à se placer ailleurs que sur les sièges  exagérément excentrés que l'organisation a eu le culot de mettre en vente. Et comme le placement est libre, on en arrive vite à un chaos indescriptible avec des gens qui se massent sur les escaliers et qui gènent de ce fait le champ de vision des spectateurs sagement assis derrière eux. Bref quelques noms d'oiseaux s'échangent dans un joli foutoir peu fréquent en général dans la salle bruxelloise.

C'est donc tant bien que mal et en jonglant du regard entre un grand échalat et sa copine qui se dandine de gauche à droite au son de la musique comme si elle était montée sur ressorts, que j'essaie d'apercevoir Greg Dulli et ses accolytes eux mèmes peu visibles sous un light show bleu-orangé tres sombre. Pas évident de rentrer dans le show dans ces conditions peu agréables.

Heureusement il y a la musique, et sur ce plan on ne peut pas etre déçu. A six sur scène, les Afghan Whigs transcendent littéralement leur compos en live.

  La voix si spéciale de Dulli, tantôt rageuse , tantôt plus calme, est portée par les guitares acérées du band. "Gentleman" déchainera les passions. La setlist revisite surtout les deux meilleurs albums du band, Gentlemen (1993) et Black Love (1996). Certains titres sont à sortir du lot comme "Debonair" et le formidable "Faded" qui s'étire pendant de longues minutes comme une complainte électrique entêtante.

Au niveau de l'éclairage du groupe on stage ça ne s'améliore pas et mème s'il est vrai que le rock sombre et habité du groupe ne mérite pas d'etre éclairé comme un concert des Stones, on peut regretter de ne pas pouvoir profiter mieux de ce qui se passe sur scène tant les acteurs évoluent dans une pénombre proche parfois de l'obscurité totale.

  Mis à part ce petit bémol qui n'engage que moi et une organisation peu glorieuse, le groupe fut lui à la hauteur de sa réputation et nous a gratifié d'une prestation troublante et hantée particulièrement éblouissante.

  Musicalement un grand moment, et peut etre un des concerts de l'année.

 

Setlist :

Crime Scene, Part One
I'm Her Slave
Uptown Again
What Jail Is Like
Going To Town
When We Two Parted/Dead Body
Gentlemen
Crazy
Something Hot
My Enemy S
See And Don't See
Love Crimes
66
Debonair
Bulletproof
Summer's Kiss
Faded/Purple Rain

Rappel :


The Letter/Come See About Me
Fountain And Fairfax
Miles Iz Dead
Into The Floor

 

Photos par JPROCK ici :   link

 


 

 

 

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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 13:37


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Le billet de JPROCK:



Que ceux qui annonçaient le déclin de la star du rock ravalent leurs sarcasmes, Johnny Hallyday est de retour sur scène et en tres grande forme !



    Il est 18h30 aux abords du Sportpaleis, et dans les bistrots du voisinage on n'a jamais autant parlé la langue de Voltaire. Beaucoup de cars, une multitude de voitures immatriculées en France et des fans qui éprouvent pas mal de difficultés à comprendre la langue de Vondel. C'est donc apres avoir servi d'interprète pour un couple de Lille désirant commander des carbonnades ( stofvlees !) dans un snack bondé à quelques enjambées du Sportpaleis, que je me dirige vers la salle.

Ce soir on affiche complet, et c'est devant 17.000 personnes impatientes de revoir leur idôle sur scène que se pointent vers 20h15 les louviérois de Romano Nervoso choisis par le maître pour assurer sa première partie en Belgique. Glamour, proposant un rock musclé teinté de punk et de chanson italienne qu'ils ont baptisé spaghetti rock les quatre lascars vont électriser la salle avec brio pendant un peu plus de trente minutes.Bonnes compos, belle énergie, ces ex membres du groupe Hulk ont du talent à revendre. Un groupe à suivre assurément dans le paysage agité des groupes belges qui en ont dans la culotte.

Il faudra patienter jusqu'à 21h35 pour voir apparaitre Johnny Hallyday logé dans une mine anti-sous-marin géante suspendue dans les airs dans un décor apocalyptique de feu d'hélicos et de flammes, au son des premiers accords d' 'Allumer le feu". D'emblée on en prend plein les yeux tant les effets 3D (sans lunettes) et les explosions pyrotechniques en tout genre sont impressionnants.

Pendant prés de 150 minutes et en une trentaine de titres Johnny va balayer 50 ans de carrière au grand bonheur de ses fans aux yeux rougis.

Les titres s'enchainent sans temps morts : "Je suis né dans la rue"," Excuse moi partenaire"," Ma gueule", "O Marie", "Deux étrangers" ,qui verra la star tomber à genoux et se rouler sur le sol en hurlant comme à la grande époque.

Un orchestre classique (des musiciens d'Anvers) fait son apparition et semble flotter dans les airs (formidable!) pour "Diego", "Quelque chose de Tenessee" et le tres émouvant "Poème sur la 7e". Brillant. C'est avec "Requiem pour un fou" que la star continue le show avant de nous rappeler ce qu'est la" Rock n' roll attitude" de bien belle manière porté par un band musclé dans lequel on retrouve le fidèle Robin Lemesurier et l'ex gratteux de F.F.F. Yarol Poupaud en lead guitar absolument épatant.

Place ensuite à une formidable reprise de Tom Jones avec "Who ,I have nothing " interprété en duo avec sa désormais célèbre choriste Amy Keys.

Apres une version sur les chapeaux de roue de "Knock on Wood" interprété par son band Johnny ,qui s'est changé, revient pour "Gabrielle" dans une ambiance de feu guitares rageuses et solo d'harmonica bluffant et soutenu par un décor impressionnant représentant deux poings croisés ( ..mourir d'amour enchainéééé...). "Je la croise tous les matins", aux guitares bluesy en diable précède alors l'inévitable set acoustique où la star se rapproche de son public installé sur une scène mouvante qui l'amène au milieu de la foule. Séquence presque intime avec "l'Idole des jeunes", "Joue pas de rockn' roll pour moi", "I'm gonna sit right down & cry over you" emprunté à la période rockabilly d'Elvis, "Elle est terrible", "Cours plus vite Charlie" et le merveilleux "Tes tendres années" qui m'émeut à chaque fois.

Retour sur la grande scène et à l'électricité avec "Que je t'aime" qui enflamme le Sportpaleis jusqu'au plus haut des gradins .L'ambiance est formidable, le public hurle, et Johnny répond avec "Oh ma jolie Sarah" et son riff incendiaire avant de calmer le jeu avec "Cet homme que voilà" et de relancer la machine rock n'roll avec "Fils de personne" et une magistrale version de" l'Envie" accompagnée d'effets pyrotechniques magistraux et d'une pluie battante virtuelle.

Le Sportpaleis est en feu.

Toutes générations confondues la salle est debout et exige un bis. C'est prévu.

Le taulier revient nous lancer à la face un "Dégage" bien hargneux avec cuivres et tout le toutim, avant de communier avec son public sous les accords intemporels de "Toute la Musique que j'aime".

Anvers est KO.

C'est seul , accompagné uniquement par le piano d'Alain Lanty, que Johnny prendra congé de son fidèle public en reprenant Jacques Brel avec un "Quand on a que l'amour" sobre et troublant.



"...Alors sans avoir rien Que la force d´aimer Nous aurons dans nos mains, Amis le monde entier..."



Tel le phénix Johnny s'est relevé et a gagné son pari contre les aléas de la vie.

Oublié le Tour 66 avorté et les ennuis de santé, la star est de retour et de bien belle manière avec un des meilleurs spectacles de sa carrière !!

Comme dans la chanson du grand Jacques , ce soir un certain Jean Philippe Smet a eu dans ses mains le monde entier...

 

Photos par JPROCK ici :link

 

 


 

 

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 20:39

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Le billet de JPROCK:



    Tout ceux qui se sont intéressé de près ou de loin au cinéma fantastique et au giallo (films à suspense auxquels s'ajoutent des scènes baroques de meutres et crimes façon gore) dans les 70's et les 80's ont déjà entendu parler de Goblin.

Formé au début des seventies par le génial Claudio Simonetti ( claviers, synthés, orgues)) et le guitariste Massimo Morante le band complété par Fabio Pignatelli (bass, guitares acoustiques) et Agostino Marangolo (drums et percussions) s'est surtout fait connaitre en composant les musiques des films de Dario Argento comme "Les frissons de l'angoisse" (1975), "Suspiria" (1977) et la BO du film "Zombie"(1978) de George A.Romero .

  Fortement influencé par des formations comme Gentle Giant, Yes et King Crimson, Goblin rajoute à sa musique des sons discordants ou expérimentaux et des voix bizarres et angoissantes qui sont depuis devenus légendaires. Apres la dissolution du groupe vers la fin des années septantes (1979), Claudio Simonetti continue à bâtir une oeuvre musicale au service des longs métrages de Dario Argento et aussi via d'autres projets comme le band de metal progressif Daemonia avec lequel il revisite aussi les oeuvres de Goblin . Plusieurs réunions du band ont  lieu , soit partielle comme en 1982 pour "Ténèbres" de Dario Argento composé par Simonetti-Morante-Pignatelli ou avec le line-up original en 2000 sous le nom de Goblin pour la BO du film "le Sang des Innocents" . En 2005 le band se reforme une fois de plus et sort "Back to the Goblin" avant de se scinder en 2 groupes respectifs : le bassiste et le batteur gardent le nom initial de Goblin et Simonetti-Morante se produisent dorénavant sous le nom de New Goblin.

  C'est donc à un concert de cette deuxième formation qui reprend l'âme du groupe ( Simonetti-Morante) que nous avons la chance d'assister ce soir. Maurizio Guarini (keys), Bruno Previtali ( bass) et Titta Tani ( ex Daemonia) complètent un line-up qui va se montrer réellement impressionnant.

  Pendant 120 minutes Claudio Simonetti et ses compagnons vont nous faire frissonner, nous émouvoir, nous transporter dans un monde où rock progressif inquiètant,  gobelins, sorcières, trolls, et démons vont hanter nos rêves les plus sombres. S'appuyant sur des projections d'extraits de films d'Argento ( le plus réussi) et sur des images du band live et en répétition ( dont on ne voit pas trop l'intérêt) New Goblin démontre qu'il possède un répertoire en béton qui a traversé les décennies sans aucune ride, et dans lequel rien n'est à jeter.

Les titres se suivent et ravissent l'assistance de connaisseurs venus frémir avec le groupe ce soir: "Mad Puppet", "Roller", "Goblin"," L'Alba Dei Morti Viventi", "Zombi", "Demoni", "Suspiria" ( magnifique), "Tenebre", "Phenomena"," El Suono Rock" et L'incontournable "Profondo Rosso" constituent la charpente solide d'une setlist incontournable.

  Mème si on pouvait espérer un concert plus basé sur des extraits de films illustrants les titres musicaux joués live par le band il faut bien reconnaitre que la prestation bruxelloise du groupe fut un tres tres grand moment, et en fin de concert l'ovation d'un public debout et conquis fut la plus belle des récompenses pour la première venue en Belgique de ce groupe culte.

    Maintenant qu'ils connaissent l'adresse pour venir nous voir, espérons que New Goblin repasse par chez nous dans un futur pas trop éloigné, car des soirées pareilles on est prêts à en vivre beaucoup d'autres en compagnie de ces musiciens formidables dont les oeuvres ont bercé nos nuits d'angoisse de cinéphiles en herbe.

Chapeaux bas Messieurs et à tres bientôt pour d'autres aventures...

 

 

Photos par JPROCK ici :link

 

 


 
 

 


 
 

 

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7 juin 2012 4 07 /06 /juin /2012 21:25

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Le billet de JPROCK:



Lee Ranaldo est connu comme étant une des âmes pensantes de Sonic Youth groupe phare du rock alternatif américain.

Dans les notes de son son dernier album solo" Between the Times and the Tides" l'homme déclare : "Songs can go a million different ways".

C'est ce qu'il va s'évertuer à nous prouver ce soir pendant 90 minutes d'un concert emballant épaulé par ses comparses de route Steve Shelley ( drums, membre de Sonic Youth), Alan Licht (guitars) & Irwin Menken ( bass).



La soirée débute avec une première partie assurée par les newyorkais de Tall Firs dont le folk indie, beau mais peu réjouissant a eu bien du mal à nous faire oublier la météo morose du jour. Mais, rendons à César ce qui lui appartient , il faut reconnaitre qu' Aaron Mullan et Dave Mies ont le chic pour installer avec leurs voix caverneuses et leurs arpèges de guitares finement distillés une ambiance sombre certes, mais d'une beauté incontestable. Une jolie découverte.



Sur le coup de 21h15 Lee Ranaldo fait son apparition et attaque "Off The Wall" devant un club qui s'est finalement bien rempli.

Le band joue fort et déploie une belle énergie qui contraste avec le duo intimiste de première partie.

Piochant allègrement dans son récent album fort réussi, Lee Ranaldo démontre qu'il est non seulement un guitariste au son et au jeu tres reconnaissables mais aussi un excellent chanteur et compositeur. On sait que ses compos possèdent toujours une charge mélancolique énorme mais aujourd'hui il y a rajouté un coté pop absolument jouissif qui rappelle par moments le son du Rather Ripped de Sonic Youth sorti en 2006. Quelques reprises hommages avec "Tomorrow never comes" piqué à Joni Mitchell, "Walk On" de Neil Young et un galopant "Thank You For Sending Me an Angel" emprunté aux Talking Heads viendront agrémenter une setlist en tous points remarquable. Mème si à 56 ans l'homme a maintenant les cheveux grisonnants, sa créativité et son enthousiasme sont intacts. Tres sympa et faisant preuve d'une simplicité naturelle le musicien a réellement l'air d'etre heureux sur scène. .

Et pour couronner le tout, Mister Ranaldo Viendra discuter le coup avec ses fans apres le concert en toute simplicité et pendant presque une heure.

En résumé, un mec hyper sympa et un excellent concert !

Que demander de plus ?



SETLIST: Off The Wall / Shouts / Angles / Tomorrow Never Comes / Xtina As I Knew Her / Hammer Blows / Lost / Walk On Thank You For Sending me An Angel / Fire Island (Phases) / Waiting On A Dream // Stranded / Genetic.

 

PHOTOS PAR JPROCK ici : link

 

 


 

 

 

 

 

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2 juin 2012 6 02 /06 /juin /2012 19:12

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Le billet de JPROCK:



Il est bien loin le temps où Elvis Costello donnait des concerts de 35 minutes , refusait de faire un rappel, et s'en prenait aux photographes qui le shootaient sur scène ou ailleurs.

Ce soir, c'est devant une AB sold out depuis belle lurette que son excellent show intitulé "The Spectacular Spinning Songbook" dans le cadre du "Revolver Tour" fait escale à Bruxelles.

Sur scène une cage pour gogo-danseuses où se trémousse une jolie black pailletée et sexy, une immense roue sur laquelle apparaissent les titres de son répertoire et qu'il fera tourner par des spectateurs et spectatrices choisis parmi le public, et bien sur à ses côtés son band actuel : The Imposters !

Composé de Steve Nieve (piano, organ, vocals), de Davey Paragher ( bass, vocals) et de Pete Thomas ( drums, vocals) The Imposters vont pendant 150 minutes se déchainer autour d'un Elvis Costello réellement impressionnant.

A quelques mètres, à gauche de la scène , un bar jouxte les claviers de Steve Nieve. Chaque invité sur scène pourra s'y asseoir, y déguster une petite coupe de champagne, et regarder de près le maître interpréter la chanson désignée par la roue. Et pour les jeunes femmes qui ont envie de danser, la gogo-cage les attend !

  A presque 60 ans, l'homme n'a rien perdu de son âme rock et possède toujours cette voix particulière immédiatement reconnaissable. Apres seulement quelques titres son costume trois pièces est trempé de sueur et il est vrai que Mister Costello en grand maître de cérémonie se donne à fond, blague souvent avec le public et enchaine les titres avec une énergie toute particulière. La setlist balaie toute sa carrière de "Alison" figurant sur son premier album à "National Ransom". Durant ces 2h30 de spectacle on se rend compte à quel point le chanteur à lunettes possède un répertoire en béton et en maîtrise tous les recoins. Le band enchaine les titres à la demande avec une facilité déconcertante et une précision musicale diabolique. Et puis, ce Costello, quel guitariste impressionnant.Son set acoustique fut réellement magistral !

On stage, l'artiste ne fait aucune concession et nous livre l'essence mème de ce que doit etre un concert de rock : un véritable juke-box live alimenté pour la circonstance par le public.

Declan Patrick MacManus enchaîne les hits parmi lesquels on peut citer" Beyond Belief"," Almost Blue", "Watching the detectives ", " Oliver’s army ", " Everyday I write the book ", " Radio Radio ", s'attaquant mème avec brio à des reprises comme "Purple Rain" de Prince et "Out ofTime" des Stones.

Les spectateurs présents ce soir ont eu la joie d'assister à un show époustouflant dont le point d'orgue fut sans doute cette étonnante et longue version de "I want you" que l'on garde encore longtemps en tête lorsque les feux de la rampe se sont éteints.

Du grand art !

 

Setlist :

 

 I Hope You're Happy Now

Heart of the City
(Nick Lowe cover)

Mystery Dance

Uncomplicated

Radio Radio

Beyond Belief

Almost Blue

All This Useless Beauty

Monkey to Man

Watching the Detectives

Clubland

Stella Hurt

Cry, Cry, Cry
(Johnny Cash cover)

Good Year for the Roses
(George Jones cover)

Alison

Everyday I Write the Book

Purple Rain
(Prince cover)


Encore:

A Slow Drag With Josephine

Jimmie Standing In The Rain

Dr. Watson, I Presume

Indoor Fireworks

Strict Time

Out of Time
(The Rolling Stones cover)

I Can't Stand Up For Falling Down

High Fidelity

Oliver's Army

Pump It Up

Peace, Love And Understanding

   
I Want You

 

 


 

 

 

PHOTOS PAR JPROCK icilink

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